conte-nous ta mort ☩ C'était lors d'une belle nuit étoilée, que Diederick succomba à la mort. Comme chaque soir, il était assis à sa table et dînait en compagnie de sa chère et tendre. Qu'est-ce qu'il en était dingue, de cette femme. D'ailleurs, ce soir-là, elle lui avait même préparé son dessert préféré : une tarte aux citrons. Surpris de ce plat, elle qui ne cuisinait que rarement, il insista pour qu'elle goûte elle aussi au fruit de son travail, mais elle objecta vivement. Ne suspectant rien, il s'en servi une part gourmande et en fini la moindre miette. Quelque instant après, il se senti... différent. Sa gorge picota, tandis qu'une étrange sensation de déchirure se faisait ressentir dans ses entrailles. Une quinte ensanglantée le pris dès lors et il suffoqua dans son propre sang, sous les yeux triomphants de son épouse. Lui, l'expert en biologie venait de se faire avoir par l'étude d'une vie. Arsenic, mortellement efficace.

que penses-tu du pays des merveilles actuel ? ☩ Lui, le scientifique par excellence ne pouvait tout simplement croire ce qui lui arrivait. Etait-il dans les entrailles de l'Enfer? De telles choses pouvaient-elles vraiment exister? Il ne voulait guère se résoudre à penser pareilles idioties. Pourtant, il était bien là. Il aurait dû mourir pour de bon, mais la nature en avait décidé autrement, visiblement. L'envoyer dans cet endroit sombre, cruel, sauvage, obscur... on ne pouvait préférer que la mort, face à tel paysage.

et sinon, tu dois bien avoir un endroit préféré en ce lieu, non ? ☩ La Vallée des Larmes est l'endroit où il se sent le moins en danger. Certes, il n'oublie guère qu'il n'est pas au monde des Bisounours, mais il n'en reste pas moins que ce lieu est apaisant. Il aime s'allonger sur le bord de la rive et laisser ses oreilles profiter de la mélodie de l'eau. Pendant un instant, le vide de ce monde cauchemardesque prend le dessus et permet à ses esprits de se déconnecter de cette nouvelle réalité.

☩ C'est un vrai passionné. Tout ce qu'il entreprend, il le fait avec toute l'énergie dont il est capable. Cela lui sera utile ici, s'il compte survivre.☩ Il est bilingue en anglais et en allemand. C'est-ce qui arrive, quand on déménage dans un autre pays. ☩ Il a toujours été friand de musique et malheureusement, depuis qu'il est ici, il n'a plus cette partie de plaisir. ☩ A sa connaissance, il n'a jamais eu de frère ou de soeur et s'en est toujours accommodé. Il déteste partager ce qu'il a. ☩ Il déteste les cruches. Il aime les femmes intelligentes et doté d'un minimum de conversation. C'est ce qu'il avait, avant que sa femme ne décide de l'assassiner au beau milieu de son repas préféré. ☩ Il adore le sport et plus principalement, le jogging. Il n'est pas trop adepte des sports dangereux et des arts-martiaux. ☩ Il a une parfaite maîtrise de la biologie et des médicaments. Il ne peut s'empêcher de garder un échantillon de tout ce qu'il trouve. ☩ C'est une personne très attachante, malgré qu'il s'énerve aisément. Avec lui, c'est soit tout blanc, soit tout noir. ☩ Quand il était vivant, il avait toujours eu envie d'un jour fonder une famille. Avoir un fils à qui transmettre son héritage et son savoir. ☩ Il a de l'imagination à revendre. Toujours plongé dans ses pensées, il aime rêver d'une autre réalité et il est doué en ce qui concerne la création d'objets ou de dessins. Tout ce qu'il trouve, il en fait quelque chose d'utile.

rancfort, la cinquième ville la plus peuplée d’Allemagne, emplie d’une population immigrée. Cependant, on y trouve de vrais Allemands, dans le centre de la ville même, confondus avec les touristes et les nouveaux arrivants. Ce quatre mars mille neuf cent septante-neuf, Diederick Feuerbach, un bébé innocent, vit le jour auprès de ses deux parents. Il ne suffit que d’un regard, pour qu’il soit choyé et adoré. Il n’était âgé que de quelques heures, que l’on savait que son destin suivrait celui de la famille. Bien des générations auparavant, ils s’étaient toujours transmis les mêmes valeurs, l’argent, l’héritage social et s’assuraient une place de choix dans la société. Rick, lui, ne dérogerait en aucun cas à la règle. Ses sept premières années de vie, il fut logé dans un appartement plus grand à l’intérieur qu’il n’y paraissait de l’extérieur. C’était luxueux : sur les murs trônaient des toiles chères et uniques et le mobilier était de la période antique et se confondait parfaitement avec le reste de l’ambiance des lieux. Néanmoins, il n’avait jamais aimé vivre dans cet appartement. Alors que les autres enfants couraient dans les jardins et s’amusaient à parcourir leur maison durant des parties de cache-cache, lui il ne pouvait guère. Il n’y avait pas assez de place et quand bien même il avait eu le désir de ne serait-ce qu’oser courir dans l’appartement, son père le lui aurait formellement reproché. Il avait toujours été sévère, avec lui. Il lui répétait sans cesse qu’un  Feuerbach se devait d’être éduqué et poli. Au fil du temps, cela commençait à s’enraciner littéralement. Il n’a pas réellement eu d’enfance comme les autres. Lui aussi, il aurait aimé jouer dans le parc et courir comme un abruti, mais il ne pouvait pas. De plus, ses seuls amis se résumaient aux enfants des amis de ses parents. Et c’était pour dire à quel point ils étaient ennuyeux. Ils tenaient toujours ces discussions ennuyeuses que seules les adultes ont. Et pourtant, ils n’avaient que sept ans et voilà qu’ils devaient agir comme s’ils en avaient vingt de plus.

En grandissant, les choses ne s’arrangeaient guère. C’était sans arrêt les mêmes rengaines et le même trin-trin de vie. Il en était lassé, mais surtout, il vivait telle une machine. Ces gestes étaient mécaniques, comme s’il n’avait plus le contrôle de sa propre vie. Le matin, il se levait, s’habillait de son éternel uniforme bleu foncé et s’en allait à l’école. La journée finie, il devait faire ses devoirs en silence et le soir, il lisait un énième bouquin. Il n’avait même pas la télévision : ses parents ne voulant guère que leur fils devienne un imbécile, avec ces idiotes. C’était une vie monotone et sans grand intérêt. Quand il fut finalement majeur, il n’hésita pas un seul instant à quitter le domicile familial. Il avait toujours rêvé de pouvoir étendre ses connaissances en science et une fois fraîchement diplômé, il postula directement pour l’Université la plus lointaine. Là-bas, il fit enfin ce qu’il avait toujours adoré et en plus, il était loin de ses géniteurs. Pour la première fois de sa vie, il se sentait enfin vivre. Il était libéré. Comme si un poids imaginaire venait soudainement de s’envoler, le laissant tel un prisonnier relâché. Il retrouvait une raison de se lever le matin, tandis que ses habitudes changeaient. Il n’était plus le fils parfait qui ne cessait de parler que de littérature et de politique. Peu à peu, il découvrit d’autres sujets de conversations et fit connaissance de gens auxquels il n’avait jamais fait face auparavant. Ils n’étaient pas des enfants que l’on avait éduqués avec des règles de conduite comme les siennes. Ils étaient différents et pour une fois, Diederick appréciait la différence. C’était un changement considérable, cette nouvelle aventure. Parce que oui, c’en était bien une. Nouvelle étude, nouvelles rencontres, nouvelles expériences –surtout en compagnies de charmantes demoiselles de la faculté de médecine- et nouvelles règles. C’en était fini de lui, ou plutôt de la contrefaçon. Sa vraie personnalité se révélait enfin, au fil des jours et il devenait finalement ce qu’il avait toujours voulu être : un jeune homme cultivé, sachant néanmoins profiter des plaisirs de la vie. C’est à peu près à ce moment précis, que se développa son attrait constant pour le plaisir. Désormais, il ne désirait que combler ses attentes, comme s’ils les avaient retenues bien trop longtemps.  

Les années passaient et la détermination du jeune brun n’avait changée d’un poil. Il était toujours aussi décidé à réussir par ses propres moyens et ils ne voulaient pas être un fils à papa, incapable de gagner sa fortune. Une fois diplômé, il trouva une place de scientifique dans l’entreprise familiale en biopharmaceutique de ses parents et décida d’y travailler en tant que scientifique, bien tapis dans son laboratoire. La seule chose qui le dérangea, c’était que cette entreprise était bâtie en plein cœur de l’Angleterre, dans la belle ville qu’était Londres. Il n’avait jamais quitté son pays, jusque là. Certes, il avait voyagé de temps à autre en compagnie de ses géniteurs, mais rien de bien alarmant. Il ne s’était jamais imaginé quitté sa ville natale, mais il avait finalement pris une décision qui allait changer le cours de sa vie. Au début, ce n’était pas chose aisée, que de se balader dans Londres sans avoir aucune connaissance de l’anglais au préalable. Lui, il ne connaissait que l’Allemand : on ne lui avait jamais enseigné d’autre langue. C’était pour cette raison, qu’au début il s’enfermait beaucoup dans son laboratoire, sans profiter de la compagnie d’autrui. A quoi cela lui servirait-il, de toute manière ? Il ne comprenait pas un traître mot de ce qu’on lui racontait. Mais il y eut bien un élément perturbateur, à tout ceci. Un jour, alors qu’il se rendait à une fête organisée par son travail, il fit la connaissance de ce qui deviendra son épouse. Elle était si belle, dans sa robe bleu nuit. Ils étaient parmi des centaines de personnes, pourtant, il n’avait vu qu’elle. Incapable de défaire ses yeux de la belle créature qui lui faisait face, il parti à sa rencontre. Seulement, ne parlant pas le même langage qu’elle, il ne pouvait faire autrement, que de danser avec elle. C’était la danse la plus agréable qu’il n’ait jamais connu. Ce fut ce qui changea l’optique du jeune homme. Pour la première fois, il avait eu envie de lui susurrer des mots en Anglais.


La rencontre de deux personnes est comme le contact de deux éléments chimiques, quand il y a une réaction, les deux sont transformés. C’était une citation qui allait parfaitement avec cette rencontre. Lui, il avait changé, parce qu’il avait eu envie de la connaître davantage. Ils avaient même fini par se marier, au bout de cinq ans de vie commune. Âgé de trente ans alors, il était lié pour l’éternité avec l’objet de son attention. Ô qu’il l’aimait. Il n’y avait pas eu pareille sensation comme celle-ci. C’était l’extase et le goût du bonheur était un délice.  Heureux, amoureux et possessif sur les bords, il vivait pleinement ses journées à ses côtés, sans se douter qu’il l’étouffait. Au fil du temps, il sentait qu’elle se décrochait de lui, qu’elle devenait distante et surtout, plus froide. Il ne savait pas ce qu’il se passait à l’intérieur de sa tête, mais tout ce qu’il savait, c’était que cela le mettait sans arrêt en colère. Elle était sa propriété, après tout. Comment pouvait-il imaginer un jour qu’elle ne le quitte pour un autre ? C’était inconcevable. Le seul échappatoire possible à tout cela, c’était bien évidemment la rupture définitive de leur contrat de mariage. « Jusqu’à ce que la mort nous sépare », avaient-ils dit ? Il fallait croire que la mort arriva bien plus tôt que prévu à la porte de Diederick, laissant sa veuve pleine aux as. Pourquoi avaient-ils fallu que ses parents meurent dans un accident d'avion, en lui léguant autant d'argent? "Ah! L'argent. Le fléau des humains."

Tousdescons ☩ ici. prénom ☩ Jessie. âge ☩ 19 ans. comment t'es arrivé(e) ici ? ☩ Grâce à Bazzart. Je dois dire que j'ai carrément craqué sur ce contexte de fifou.    tu penses quoi de tout ça ? ☩ J'adore, vraiment je tire mon chapeau à ce Forum. le code ☩ gourgandines.     un dernier mot ? ☩ Tout ce monde uniquement crée de vos petits méninges est réellement bien fait. Je vantais d'ailleurs ces qualités, avant de passer le lien du Forum à ma sister.   

Et voilà, chose promis chose due ! Ton personnage est bien intéressant dis voir, et puis ta fiche se lit vraiment toute seule.   Hâte de voir ce qu'il va donner en rp !

lors comme ça, t'es convaincu que tu peux survivre ici, toi, petit tas de viande ? Vraiment ? Oh, très bien, tu pourras pas dire qu'on t'a pas prévenu, c'est à tes risques et périls de t'aventurer dans cet univers douteux. Qui plus est, tu veux savoir le meilleur ? Tu m'rappelles énormément quelqu'un qui habitait ici, qui appréciait ce monde malgré ses mauvais côtés, on dirait que t'es alice, c'est étonnant comme les esprits peuvent se croiser. Quoi qu'il en soit, ces êtres ne sont plus là et c'est bien pour une raison, mourir une fois c'est une chose, claquer une deuxième fois et ici, c'est une autre histoire. Pour commencer, avant de t'offrir le repos du guerrier, tu vas devoir recenser ta face de rat, parce que certes les dieux du forums sont multi-fonctions mais il faut que tu bouges un peu toi aussi ! Ensuite, tu pourras en toute innocence te diriger vers les liens, les rps, c'est toujours plus amusant de butter du monstre à deux, ou plus, non ? Ceci étant fait, tu pourras toujours par extension, te créer une autre âme en peine, parce que plus y'a de fous, plus ça rigole dans les couloirs ! Et pour finir ? Rien, si ce n'est gaffe à ta tête qui peut bien vite tomber. (au cas où tu l'aurais pas remarqué, nous t'offrons 10 points pour ta validation, sicépabo ça ?)

Le staff de WHYDA te souhaite bon amusement, bon RP et bon décès !