Les conséquences de la première INTRIGUE de WHYDA, c'est par ici ! N'hésitez pas à REMONTER WHYDA sur bazzart ou prd
Ce n'est pas parce que le forum a une annexe sur les troubles qu'il est obligatoire de jouer un personnage malade. UN SAIN D'ESPRIT c'est tout aussi bien.
Il est obligatoire de BIEN lire les annexes, auquel cas le staff vous mordra les fesses. Nous n'acceptons pas les pseudos à initiales - retournons aux origines simplistes les enfants. Entre autre, pour continuer sur les pseudos, les prénoms trop excentriques (drogue, alcool ou autre totalement improbable) sontINTERDITS, merci de rester réalistes. Les personnages du pays des merveilles ne sont pas acceptés, seuls les morts peuvent passer !
(PNJ autorisés) While you are proclaiming peace with your lips, be careful to have it even more fully in your heart. (PV Danny)
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Sujet: (PNJ autorisés) While you are proclaiming peace with your lips, be careful to have it even more fully in your heart. (PV Danny) Mer 2 Juil - 11:28
While you are proclaiming peace with your lips, be careful to have it even more fully in your heart.
D
epuis combien de temps était-il ici ? Il n’en savait rien. Le temps était bien différent : tantôt il faisait clair, tantôt il faisait nuit. De plus, il n’était jamais certain de l’heure exacte. Quand il apercevait des horloges, toutes n’affichaient pas la même heure et c’était bien agaçant, d’ailleurs. De son vivant, Diederick était toujours un homme ponctuel, qui aimait garder le contrôle de ses journées, afin d’éviter le temps perdu inutilement. Aussi loin qu’il s’en rappelait, il n’était arrivé en retard au travail que de rares fois, simplement. Et encore. Les seules fois où il s’était absenté, s’était lors de l’enterrement de ses parents. Il s’en souvenait très clairement, comme si la tragédie avait eu lieu la veille. Pourtant, il n’avait pas assisté à leur mort, mais le résultat n’en n’était pas moins des plus traumatisants. Un jour, alors qu’il était enfermé dans son laboratoire en compagnie d’un de ses collègue, travaillant les micro-organismes, il reçu un appel assez alarmant. Premièrement, la voix au bout du fil lui était totalement inconnue, si bien qu’il avait su qu’il se tramait quelque chose, à la seconde où on lui avait demandé « Est-ce bien monsieur Feuerbach ? ». Ensuite, on lui avait annoncé la nouvelle, qu’il avait accueillie tel un coup de massue reçu sur le dessus de la tête. En une seule seconde, sa vie avait changée du tout au tout. Certes, ses parents n’habitaient plus dans le même pays que lui et même s’il avait été ravi de quitter le cocon familial durant sa jeunesse, il était profondément attaché à ses géniteurs. Un accident d’avion, lui avait-on dit. C’était à cause d’une mécanique défaillante qu’il avait perdu la seule famille dont il avait connaissance. Eux qui déboursaient sans cesse leur argent dans des avions privés pour s’assurer une meilleure sécurité, voilà qu’ils avaient dépéris de manière tragique, dans l’objet de leur convoitise. Si cela n’était pas l’ironie du sort ! Ô, comme il en avait été attristé. Si bien que les choses ne furent plus comme elles eussent été. Déjà marié à sa tendre épouse, il n’avait que faire des dépenses quotidiennes, jetant l’argent par les fenêtres, au gré des envies de cette dernière. Ils vivaient tous deux au jour le jour, sans jamais lorgner les factures de l’œil.
Cependant, tel un automatisme, cette mauvaise habitude pris vite fin, quand il se rendit compte que c’était ce qui avait aidé la faucheuse à lui prendre sa mère et son père. L’argent. Toujours un sujet de discorde. Toute sa vie, il en avait fait les frais. Parmi l’élite collégiale, il accompagnait des imbéciles qui choisissaient leurs amis en fonction du pesant d’or qu’ils valaient. C’était aisé de les reconnaître, il suffisait de jeter un œil à la qualité de l’uniforme scolaire pour savoir distinguer les différentes classes sociales. Diederick n’avait jamais été friand de ce genre de pratiques douteuses. Il n’en comprenait pas l’utilité. Après tout, n’avait-on pas dépassé la crise Hitlérienne ? L’Allemagne, très joli pays aux allures tranquilles, mais avec une histoire enracinée, qui se perpétrait. Et finalement, il y avait cet appartement chic et coûteux qu’il détestait tant, de par son côté trop stricte et bourgeois. Tant de mauvais souvenirs lui venaient en tête, quand la simple évocation de ces lieux lui revenait à l’esprit. Tout d’abord, c’était synonyme de privation. Tant de fois, on lui avait interdit d’agir de telle ou telle manière, dictant sans cesse sa conduite. Il ne pouvait courir à l’intérieur, ramener des amis d’école, participer aux jeux « puérils » dans le parc ou encore veiller jusqu’à vingt-et-une heure. Ensuite, il lui rappelait surtout le fait qu’il était dépendant de ses parents, telle une marionnette à son marionnettiste.
Néanmoins, en ces lieux de folie, Diederick avait trouvé son havre de paix. Cet endroit si attachant, s’appelait la Rivière Sanglot. La cascade était faite de grosses pierres et en son centre, trônait une immense statue, de la forme d’une jeune fille qu’il ne connaissait pas –en dehors des rumeurs, du moins. Cette statue, malgré qu’elle aurait pu sembler anodine, était pour le moins étrange : l’eau coulait à flot, mais seulement de ses yeux. On eût dit qu’elle était d’une tristesse sans pareille, ce qui donnait aux lieux une ambiance accablante, mais affreusement poétique et apaisante. Dans les airs, volaient d’agréables petits papillons de toutes les couleurs, des groins de cochons –qu’il trouvait d’ailleurs des plus intrigants- et même des libellules ressemblant fortement à des visses. Quand on était près de la Rivière Sanglot, on ne ressentait jamais les mêmes sentiments deux fois. Tantôt on se sentait accablé, déprimé, perdu, fou et tantôt on avait l’impression d’avoir trouvé un petit coin de paradis, dans un monde où l’Enfer était maître. En ce moment, son humeur était plutôt légère. De temps à autre, il ressentait le poids de ses regrets, mais parvenait néanmoins à combattre tout ceci, par une volonté certaine. S’il existait bien une chose qu’il avait apprise, ici, c’était de ne guère laisser ses pensées s’évader trop longtemps. Quand cela arrivait, on se sentait attirer par une force, au plus profond de nous-mêmes, comme si la fin était proche et que nous étions à la limite de perdre nos esprits. C’est pour tout cela, que Diederick prenait sans cesse ses précautions. Après tout, il n’avait pas envie de mourir une seconde fois. Déjà que la première fois l’avait surpris. Ah, ce triste funeste. Jamais il ne sera capable de l’effacer de sa mémoire, tant cela l’avait détruit, depuis qu’il se retrouvait ici. Il avait toujours cru que l’amour était une des quêtes d’une vie et voilà qu’il s’était fait avoir par ce dernier. Quelle triste fin de vie. Mourir de la sorte, comme un chien au milieu des ordures, sauf que lui, ce fut dans sa propre assiette. À sa propre table. Avec la femme qu’il avait toujours aimée. Si l’on connaissait des morts dites « stupides », il devait sans doute entrer dans l’histoire, dorénavant. Il ne parvenait pas à ne plus y penser. Sans cesse, ce moment le tourmentait, venant le gifler de plein fouet, quand il trouvait enfin la paix, dans un endroit comme la Vallée des Larmes. Mais il ne fallait pas qu’il perde pieds. Pas maintenant. Il ne se le permettrait pas.
Aujourd’hui encore, il était revenu sur les lieux de son attachement, assis dans l’herbe de la vallée, observant les alentours. C’était toujours silencieux et reposant, quand il n’y avait pas de drôles de créatures, prêtes à vous sauter à la gorge pour vous ôter la vie en une seule seconde. Mais ici, le point majoritairement positif, c’était qu’il n’y en avait pas de graves. Pas comme dans les autres endroits du pays, en tout cas. Parfois, dans sa route, il avait rencontré des créatures moins commodes, mais toujours armé de son fidèle cheval-bâton, il ne craignait guère pour sa vie. Il n’en dirait pas autant pour la personne qui était en ce moment même aux abords de la Rivière Sanglot. Peut-être n’avait pas vu ces drôles de poupées de pétroles qui s’aventuraient d’un pas lent vers ce dernier ?
Danny Weaver
❝ la mort imprévue fait partie de la vie, il faut bien l'accepter ❞
✢ DENTS PERDUES : 1174 ☩ CERVELLES GAGNÉES : 3675 ✢ ARRIVÉ AU PAYS LE : 06/05/2014✢ PSEUDO : radioactive fish ✢ AVATAR : heath ledger ✢ CREDITS : sugar slaughter, wild hunger✢ AGE DU PERSONNAGE : vingt huit ans, vingt-huit, joli nombre s'il s'en faut, vie trop courte s'il en est ✢ JE SUIS : une chenille avec une chicha, paye les conseils et fumée gratos ✢ DANS TES POCHES : couverture en plumes de jubjubs, lanterne lucioles (encore 15), potions répare-tout (6), somnicakes (6), et un fragment d'une dent du morse dont les propriétés lui sont encore inconnues -elle a au moins le mérite d'être un peu classe- ✢ TA VIE : 54/100 ✢ ANCIEN METIER : barman, l'ironie de l'alcoolisme ✢ LOCALISATION : crypte de la chenille, tant qu'à faire, à ruminer dans un coin, ou pourquoi pas à la rivière sanglot, c'est selon l'humeur
If heaven has any plagues beyond what I can drum up, let it wait until your sins are piled high and then hurl them down on you, you destroyer of a whole world of peace ! May conscience eat away at your soul constantly. May you suspect your true friends of being traitors and take the worst traitors as your closest friends. May you never sleep a wink except to dream of a hell full of ugly devils.
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Peuple de WHYDA, merci beaucoup pour vos votes, je vous aime, surtout pour Zonny parce que Zonny c'est genre la vie et mort, le jour et la nuit, le ying et le yang, doctor who et le tardis, sherlock et watson, tic et tac, m'voyer ? ;-; ET PUIS MERCI A MARLETTE LA CREVETTE ET ELIAS LE -damn- -j'aime pas les rimes- -je cherche- -tu m'fais chier Elias- -je trouve pas- -je vais google- LE TEXAS VOILA -merci google-
ADMIN DEGEULASSE SUSU, COEUR SUR VOS FESSES AVEC PLEIN DE SOUS-ENTENDUS
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Sujet: Re: (PNJ autorisés) While you are proclaiming peace with your lips, be careful to have it even more fully in your heart. (PV Danny) Sam 12 Juil - 23:24
Proclaming peace with your lips
U
n brin d'herbe, puis un deuxième, puis encore un autre, ils échouaient tous près de Danny. Assis en tailleur au bord de l'eau, il n'avait rien trouvé de mieux à faire que d'arracher l'un après l'autre les brins d'herbe qui avaient le malheur de pousser trop près de lui. Enfin, Danny considérait qu'ils étaient des brins d'herbe, jusqu'à peut-être leur découvrir des propriétés bizarres ou malsaines, le genre de truc qui arrivait ici tout à fait normalement -à savoir détourner le normal au profit de l'anormal qui, finalement, constituait la norme. En fait, c'était tout simple ; comme tout changeait sans logique, il devenait logique que l'illogisme règne ici en maître, et Danny avait bien compris tout ça. Alors, en attendant de tomber sur une nouvelle surprise qui ne pouvait s'avérer qu'être mauvaise, la seule occupation de l'homme constituait à arracher ces quelques brins, moyen comme un autre de passer le temps -quitte à être coincé ici pour l'éternité, autant économiser les distractions qui ne fleurissaient pas comme les champignons. Et puis, au moins, ce simple petit geste constituait en soi un moyen d'évacuer un chouilla de pression, pas le moyen le plus efficace, certes, mais il était relativement difficile à Danny de s'acharner sur un tronc d'arbre et de frapper dedans de toutes ses forces alors que son ventre hurlait à la faim. Dans quelques temps, il le sentait venir, il n'allait sans doute pas tarder à avaler n'importe quoi -dont les brins qu'il avait arraché-, histoire de ne pas crever une nouvelle fois comme le premier des abrutis, pas foutu de manger alors que son estomac protestait ardemment contre le manque. Ainsi donc, déraciner ces pauvres brins, ça lui faisait penser à autre chose qu'à son ventre qui le tiraillait, et puis, surtout, ça l'aidait à penser à autre chose qu'à son frère et Zoe.
Parce que sans conteste, de son vivant, il avait merdé, il avait merdé bien comme il fallait. Même plus que ce qu'il fallait. Sérieusement, que fallait-il être pour assassiner son propre frère ? Certes, les circonstances pouvaient être quelque peu atténuantes, mais son geste restait irréversible et impardonnable. Impardonnable, pour sûr ; Danny en avait récemment fait les frais. Sa tempe se remettait doucement du coup de poing, mais tout de même, il arrivait à sa tête de tourner sans trop de raisons, et la nuit, il lui arrivait de revoir le poing partir avant de se réveiller, tremblant, se tournant et se retournant dans tous les sens pour tenter de retrouver un semblant de sommeil, chose qui s'avérait les neuf dixièmes du temps difficile voire impossible. Seul, même dans la mort, Danny faisait face à la solitude la plus pleine et entière, une solitude terrible qui pesait sur ses épaules presque autant de la culpabilité qui le rongeait. Quoi de mieux, dans ces cas de figure, que de s'installer tranquillement près de la rivière sanglot ? L'eau avait toujours eu le mérite d'apaiser Danny au moins un tant soit peu. Des heures et des heures, dans sa jeunesse, il s'était installé sur une plage à Plymouth et avait apprécié ces moments solitaires, seul face à l'étendue bleue, profitant de chaque instant car toujours, il avait vu la mer plus comme une alliée que comme un problème à surmonter. Alors, Danny tentait de trouver un peu de repos auprès du cours d'eau, et peut-être aussi un genre de repentance, mais pouvait-il en être sûr ? Certainement pas, comme il n'était plus sûr de rien du tout depuis son arrivée dans ce monde. Danny vivait baigné dans les doutes les plus profonds à propos de tout et de n'importe quoi, y compris de doutes sur sa propre réalité. N'était-il pas, tout simplement, dans un lit d'hôpital à rêver toutes ces fantaisies ? Danny espérait qu'il en soit ainsi. Son sort aurait été probablement plus enviable. Enfin, encore une fois, il était difficile de le dire. Au moins, ce pays avait le mérite de lui apporter ce que la vie n'avait jamais su lui offrir ; une seconde chance.
Alors quoi ? Qu'attendait-il, assis près de la rivière ? Rien, rien du tout. Ce qui pouvait semblait être de la paresse était pour Danny un moment de repos, et pas seulement de repos physique ; il s'agissait également d'un repos de l'esprit. Oui, pour sûr, l'oubli aurait été la solution la plus efficace pour palier aux cauchemars. Mais voilà, ce qu'il avait connu, il ne pouvait pas l'oublier, même avec la meilleure volonté du monde. Lorsqu'il rêvait, Danny aimait à voir des thérapies aux électrochocs et des potions qui lui permettraient de s'évader pour de bon et de retrouver une liberté perdue depuis bien trop longtemps. Encore parfois, il se surprenait lui-même quand il en venait à songer que, peut-être, derrière l'arbre qu'il contournait, il trouverait un quelque chose le poussant à l'oubli, n'importe quoi, n'importe quel objet enchanté ou n'importe quel bibelot, qui, avec un peu de chance, le rendrait amnésique et il vivrait, insouciant, croyant dur comme fer avoir toujours vécu dans ce pays aussi magnifique qu'infernal, et tous ses soucis s'envoleraient comme de par magie. Mais non, pas aujourd'hui. Le destin, la fatalité, toutes ces choses auxquelles Danny ne voulait pas croire mais ne pouvait plus s'en empêcher malgré tout, en avaient décidé autrement. Aucun moment de répit, aucun, même quand son ventre criait famine et que la pression était à son comble, même dans ces rares instants de désespoir le plus complet, l'être suprême qui commandait les créatures de ce monde n'était pas décidé à laisser Danny un seul instant tranquille.
D'un seul coup, Danny se redressa, cessant de maltraiter les brins de la prétendue herbe. Ce bruit, merde, il ne le connaissait que trop bien. Les pétroles, comme il les appelait, les pétroles étaient de retour, déterminées à ne rien lui laisser, pas même quelques minutes de pause dans une "vie" cauchemardesque. Cramponnant son parapluie qui ne gisait jamais bien loin à ses côtés, Danny se releva brusquement, provoquant par la même occasion un mal de crâne qui ne le quittait plus vraiment, mais qui pouvait toujours devenir plus intense. Oui, ces saloperies, ces bon dieu de créatures immondes, elle approchaient dangereusement, certainement en quête de... De chair ? Dans ce cas de figure, Danny ripostait habituellement avec ce qui lui tombait sur la main, car évoluer dans un tel environnement avec un simple parapluie, c'était assez peu pour la survie. Ou alors, Danny prenait la fuite. Pas très glorieux, certes, loin d'être glorieux, même, mais cette option était toujours préférable à la mort -enfin, la mort, on ne pouvait être sûr de rien. Et puis, avant que les pétroles ne s'approchent trop près, Danny croisa le regard d'un homme, un homme comme lui, qui n'avait pas un bras planté sur le torse, des boulons qui lui sortaient des tempes ni des têtes de poupées qui lui poussaient sur le corps. Un homme comme on en voyait relativement peu, un homme qui n'agissait en rien bizarrement, un homme qui avait probablement juste un peu plus d'années que lui dans les dents, mais surtout, un homme qui pouvait l'aider. Première chose ; ne pas crier à son attention, inutile de lui mettre les pétroles sur le dos. Deuxième chose ; lui faire comprendre par un regard qu'un peu d'aide serait la bienvenue, parce que Danny était un peu faiblard pour s'entraîner dans une lutte avec les pétroles. Troisième chose ; espérer. Si troisième chose vaine, troisième option bis ; décamper, et vite, avant que tout un attroupement ne rapplique.
(PNJ autorisés) While you are proclaiming peace with your lips, be careful to have it even more fully in your heart. (PV Danny)