conte-nous ta mort ☩ C'était un Lundi comme les autres jusqu'à preuve du contraire. Je m'étais levé à six heures, comme tous les matins, et avais commencé par faire mon lit en carré. Pas un de ces vulgaires carrés tracés à la main aux lignes bancales mais un carré parfait avec des coins à 90 degrés bien vérifiés avec mon rapporteur de mathématicien hors pair. Je m'étais ensuite glissé avec mes petits chaussons et précaution derrière les rideaux de ma douche dans l'unique et seul but de me décrasser. Au risque d'en surprendre plus d'un, je ne m'étais pas affalé par terre en trébuchant sur le tapis jonchant le couloir de tout son long car un petit saut de cabris de dernière minutes m'avait sauvé. Je faisais rarement preuve de réflexes hors du commun mais cette fois-ci, je ne m'étais pas laissé avoir. Le petit-déjeuner avait suivi puis j'avais pris soin de nettoyer mon visage parce qu'il était hors de question que j'y laisse des traces de beurre venus se coller à mon menton alors que je dévorais mes tartines matinales. J'avais préparé en avance la tenue que j'allais porter, comme toujours, ainsi je ne risquais pas de perdre du temps à choisir une cravate qui serait assortie au reste de mon accoutrement. J'avais beau travailler dans un lycée, je faisais toujours attention à ce que ma toilette soit impeccable et j'avais pris cinq minutes pour parfaire le noeud de ladite cravate aux couleurs brunes. Bénéficiant de beaucoup d'avance, j'avais scruté la bibliothèque du salon et avais remis en place tous les livres la jonchant décidant ce matin-là de les ranger du plus petit au plus grand, les dépoussiérant un par un. Vous allez me dire que je vais finir par être en retard à cette allure mais je vous répondrai que non ! Le fait que je me lève à six heures n'est pas innocent, je prévois à chaque fois une bonne demie-heure pour vaquer à des occupations diverses et variées avant de prendre le chemin du turbin. Une fois ce petit manège terminé, j'avais pris le bus passant devant chez moi et avais lu le journal déposé sur le pas de ma porte quelques minutes avant que je quitte la maison. En arrivant au lycée, je m'étais empressé d'éviter les jeunes et leurs mains sales, leurs yeux rouges signe d'une nuit trop courte et leur manie d'éternuer sans mettre leurs mains devant leurs bouches. Nous étions en hiver, les épidémies de grippe emplissaient l'atmosphère et je croisais les doigts pour éviter de faire partie de la longue liste des malades du lundi matin. J'avais un oncle qui était mort d'une angine qui était en fait une rhino-pharyngite assortie d'une infection urinaire et tous savaient que ma chance légendaire me pousserait un jour à mourir d'une bête mort alors, je faisais tout pour éloigner la grande faucheuse de mon chemin au jour le jour prenant soin de jeter des coups d'oeil réguliers par dessus mon épaule à intervalles réguliers pour surveiller son approche. Qui sait, peut-être que lors du grand moment, elle se glissait dans votre dos vous glaçant le sang et vous paralysant en disant "coucou". En entrant dans mon bureau, je notais que mon clavier était couvert de poussière. Décidément, les femmes de ménage de nos jours ne faisaient plus attention à la tonne de poussière qu'elles soulevaient et laissaient se poser sur tous les meubles alentours. Après tout, pouvais-je vraiment les blâmer ? Nous étions tous tellement pressés de partir en week-end le vendredi soir que le travail était souvent bâclé. Je ne bâclais jamais mon travail mais pouvais comprendre le flegme de mes collègues en les observant quotidiennement. D'ailleurs, Becca venait d'entrer. Elle aussi avait les yeux rouges et éternuait. Je savais déjà que la journée allais s'avérer être encore plus longue que ce à quoi je m'attendais maintenant qu'une collègue se révélait être porteuse de virus et que j'allais être enfermé dans cette pièce chauffée par les ordinateurs surchargés de données avec elle. Je me doutais que j'allais à mon tour goûter au plaisir d'une convalescence redoutée. Je la saluais sans grand enthousiasme, prêtant une attention sans faille au nettoyage impeccable de mon clavier que ce soit entre les touches ou en surface, aucune particule de poussière ne résisterait à mes talents de maniaque de la propreté. J'avais cependant sous-estimé le carton bien trop lourd pour elle qu'elle portait en entrant dans la pièce et le piège potentiel qu'il représentait tant et si bien que la scène s'enchaîna à vitesse grand V sans que je puisse réellement réagir. Je la vis lâcher la boîte sur sa jambe qui se tordit, la faisant courber l'échine et trébucher, ses mains agrippèrent le meuble le plus proche à savoir la bibliothèque où toutes nos précieuses données étaient classées avec le plus grand soin et avait entrouvert la bouche, laissant filer les derniers mots que j'allais prononcer en ce monde : Non pas les dossiers ! Mes yeux s'étaient écarquillés exprimant cette frayeur qui grondait en moi et me poussait à me redresser légèrement, levant les mains vers la bibliothèque en croyant dur comme fer que j'allais pouvoir la stopper, pensant déjà à la pagaille que ça allait être de tout devoir ranger. Je me retrouvais finalement écrasé par une ombre bien plus grande que moi qui mit fin à mes jours.

que penses-tu du pays des merveilles actuel ? ☩ développez en quelques lignes votre opinion sur le pays des Merveilles et la situation instable dans laquelle il se trouve suite à l'accident d'Alice.

et sinon, tu dois bien avoir un endroit préféré en ce lieu, non ? ☩ en quelques lignes votre endroit préféré, parce que ce pays a beau être un cauchemar ambulant, on a tous un endroit pour se reposer et qu'on aime inconsciemment.

☩ Elliot est très ponctuel, toujours à l'affut du temps, il ne lui arrive jamais d'arriver en retard. ☩ Avant Wonderland, son truc c'était ranger tout ce qui trainait par terre ou réarranger sa précieuse bibliothèque par couleur, catégorie, taille ou auteur. Maintenant qu'il est cloitré en ces lieux de perdition, il a repris cette habitude et range très souvent le bois de Tugley à sa façon en regroupant les feuilles tombées en un tas parfait, les branches en un autre, arrachant les mauvaises herbes et j'en passe et des meilleures et ce jusqu'à ce qu'une menace gronde et ne le fasse détaler à la vitesse de la lumière. ☩ Il songe à se creuser un bunker juste au cas ou. ☩ Ses épisodes de frayeur chronique l'empêchent de s'aventurer à plus d'un kilomètre d'où il est arrivé pour la première fois. Le seul endroit où il a osé s'aventurer est le bois de Tugley et le restera jusqu'à ce qu'une nouvelle lubie exploratrice ne le prenne. ☩ Il admire les oiseaux depuis sa plus tendre enfance et pourrait passer des heures à les observer voler cependant au coeur du monde "merveilleux", nul oiseau répertorié dans ses livres de fervent ornithologue ne peut être trouvé mais cela ne change rien. Il a découvert que les oiseaux-marteau le fascinent autant que les hirondelles. Il aimerait d'ailleurs en apprivoiser un mais tant que ça reste dangereux, il mesure ses ardeurs. ☩ Imagine parfois être dans son bureau au lycée et s'assoit sur un rocher faisant mine de taper sur un ordinateur et se redresse de temps à autres pour ranger des dossiers invisibles dans un meuble lui aussi imaginaire. En faisant cela, il est persuadé qu'il ne perdra jamais le lien avec la réalité et ne se laissera jamais ronger par la folie ambiante. ☩ A souvent des monologues avec les groins auxquels il s'adresse sans jamais obtenir une autre réponse qu'un grognement porcin. ☩ A beaucoup de mal à se mettre en tête qu'il faut chasser pour survivre car la simple idée de mettre à mort une créature l'effraie -comme beaucoup de choses d'ailleurs- alors il a beaucoup maigri, se contentant de tester de temps à autres des plantes qui lui semblent comestibles. ☩ Malchanceux comme pas deux, il a l'art et la manière de trouver le mauvais chemin menant au mauvais endroit et s'est même une fois retrouvé coincé dans la tourbe de son bois favori. ☩ Il ignore encore beaucoup de chose sur l'environnement hostile qui l'entoure ce qui fait de lui une proie facile.

ar ici l'histoire de ton petit bonhomme. Tu racontes de la manière que tu veux, tu causes de son passé, de ses erreurs et de ses choix, sous la forme que tu veux. Biographie, journal, différents morceaux de RPs, tout ceci en un minimum de 30 lignes. ar ici l'histoire de ton petit bonhomme. Tu racontes de la manière que tu veux, tu causes de son passé, de ses erreurs et de ses choix, sous la forme que tu veux. Biographie, journal, différents morceaux de RPs, tout ceci en un minimum de 30 lignes. ar ici l'histoire de ton petit bonhomme. Tu racontes de la manière que tu veux, tu causes de son passé, de ses erreurs et de ses choix, sous la forme que tu veux. Biographie, journal, différents morceaux de RPs, tout ceci en un minimum de 30 lignes.

pseudo sur internet ☩ Cleiya. prénom ☩ Alizée. âge ☩ 22 ans. comment t'es arrivé(e) ici ? ☩ Grâce à votre projet sur Bazzart et la diffusion du lien par MP. tu penses quoi de tout ça ? ☩ Le forum est surprenant, magnifique et grandiose ! J'ai tellement hâte d'en voir plus ! le code ☩ C'est tout bon !  un dernier mot ? ☩ Cucurbitacée.

ue nous sommes vilains tu dois te dire ! Pourtant, ce petit message n'est qu'à titre d'information - histoire de te prévenir. Parce que oui mon petit lapin, ça va faire une semaine que tu as lancé ta fiche, celle-ci n'étant pas finie, il te reste encore une semaine pour le faire. Attention à toi malgré tout, parce que si tu dépasses ton premier délai, tu n'auras pas droit à un deuxième - et oui, parce que deux semaines, c'est largement suffisant, m'après si t'as une raison en béton genre pc mort, soucis irl on comprendra et on pourra t'offrir des jours en plus. ALLEZ. TU VAINCRAS. Sinon on t'envoie du thé bouillant dans la face.