JULIET ♔ "You're vulnerable, you are not a robot"

Invité

Juliet, Montgomery

“The pianokeys are black and white
but they sound like a million colors in your mind”

nom ☩ Montgomery (née Fordham). prénom ☩ Juliet Lacey. Surnommée Jiools. âge ☩ Vingt-sept ans. date de naissance ☩ 13 décembre 1986. lieu de naissance ☩ Manchester, R-U. statut social ☩ Veuve, enfin c'est assez compliqué à définir maintenant. ce qu'il faisait avant ☩ Chanteuse et pianiste célèbre. arme ☩ Un pistolet à la rose. traits de caractère ☩ charismatique, honnête, calme, travailleuse, aimable, drôle, réfléchie, humble, généreuse, tenace ; introvertie, susceptible, rancunière, méfiante, têtue, perfectionniste, moqueuse, secrète, sarcastique, stressée. crédits ☩ Shiya.

Les questions du chat

conte-nous ta mort ☩ Je pense que j'ai eu plusieurs mort. Oui, quand il s'en est allé, je l'ai suivi. Après le décès d'Aaron, mon mari, j'ai fini par sombrer. Je n'étais plus que l'ombre de moi-même. Une sorte de créature entre la vie et la mort. Je n'étais plus réellement J'ai souvent pensé au suicide. Me jeter sous une voiture ou un train, me tirer une balle dans la tête, sauter du haut de mon balcon... Mais c'est un crash d'avion qui a fini par m'arracher à la vie. C'était un avion partant de Londres pour aller à Manchester. J'avais décidé de rentrer chez moi. Mon mari était mort et j'avais besoin de rester près de mes proches. Mais je n'ai jamais réussi à les rejoindre... uc

que penses-tu du pays des merveilles actuel ? ☩ Je viens tout juste d'atterrir ici. Jamais je n'aurais pensé que cela aurait pu arriver. Jamais... uc

et sinon, tu dois bien avoir un endroit préféré en ce lieu, non ? ☩ en quelques lignes votre endroit préféré, parce que ce pays a beau être un cauchemar ambulant, on a tous un endroit pour se reposer et qu'on aime inconsciemment.

Les détails du lièvre

☩ Sa mère est une danseuse étoile et son père est un chirurgien reconnu. ☩ C'est une virtuose du piano et grâce à son histoire, on la compare souvent à Wolfgang Amadeus Mozart. Elle joue aussi du violon, mais ce n'est que pour le plaisir. ☩ Sa carrière a commencé à ses huit ans. Et elle a commencé à jouer à six ans. ☩ Enfant, elle était extrêmement timide et elle avait un problème de bégaiement. La musique lui a permis de se libérer de ce problème. ☩ Elle est ambidextre. ☩ Elle ne s'énerve pas souvent. C'est assez difficile de lui faire perdre son sang froid. Mais, quand cela arrive, c'est assez spectaculaire. ☩ Elle ne fait pas facilement confiance aux gens. ☩ Elle a aussi fait de la danse classique et de la gymnastique, de l'âge de cinq ans à l'âge de dix-huit ans. Elle ne pratiquait pas de manière régulière, mais elle reste très souple. ☩ Ses parents sont toujours en vie, de même que son frère aîné, de qui elle était très proche. ☩ Elle était mariée, mais son époux est décédé sur le front de guerre.

Invité

Tes maux et tes mots

"Everything that drowns me makes me wanna fly"

« Alors, auriez-vous une idée ou une envie particulière mademoiselle ? » Je n’avais même pas daigné regarder le vendeur moustachu. J’avais les yeux rivés sur le sol et je n’arrivais pas à m’en décrocher… Oui, je n’avais pas envie d’être là, je me sentais mal-à-l’aise… « Ne vous fatiguez donc pas, elle ne vous répondra pas. Non, nous n’avons pas d’exigences particulières… » Lui dit ma mère avant de me lancer un regard chaleureux. Elle avait d’ailleurs parfaitement raison, je n’allais pas répondre à ce vendeur, j’en étais parfaitement incapable… Je n’arrivais même pas à le regarder dans les yeux, comment aurais-je pus lui adresser ne serait-ce qu’un mot ? Impossible, je me sentais incroyablement faible. Timide, voilà ce que j’étais, je souffrais d’une timidité plus que maladive. Elle me rongeait de l’intérieur et m’empêchait de montrer aux autres celle que j’étais réellement : « Oh, je vois. » Lança le vendeur qui semblait avoir compris la situation, un sourire rassurant aux lèvres il reprit : « Bien, suivez-moi. » Nous nous exécutâmes donc. Tout le long de notre marche, la vision de cet endroit magnifique qu’offrait ce magasin de musique m’éblouissait. J’étais d’ailleurs tellement absorbée par la pièce que ma mère dut m’appeler plusieurs fois pour que je me rende compte que le vendeur nous montrait un bien étrange objet. Nous nous trouvions devant un assemblage d’éléments aussi étranges les uns que les autres. Je lançai un regard interrogateur à ma mère, elle fixait l’instrument et se mordait la lèvre inférieure : « Impossible. Dit-elle finalement en détachant chacune des syllabes du seul mot qu’elle avait prononcé. Non, ma fille ne jouera jamais de la batterie… » Elle avait prononcé d’une voix dénuée de toute émotion, mais, il était évident qu’elle n’était pas ravie… Voilà donc le nom de cet étrange objet. En tout cas, ma mère me connaissait bien car, je n’avais aucunement envie d’apprendre à jouer de cela…
Tandis que le vendeur se confondait en excuses, racontant à ma mère qu’il voulait en quelques sortes soigner ma timidité, je regardai chacun des instruments avec attention. Soudain, je fus totalement charmé par l’un d’entre eux qui se trouvait plus loin. Sa forme à la fois convexe et raide additionnée à sa couleur noire sombre et puissante ainsi qu’à ses finitions dorées lui donnait une élégance plus qu’incroyable. J’étais comme hypnotisée, il fallait que je m’en approche. Je m’étais – enfin – détachée de ma mère et ce, sans aucune hésitation…
Enfin face à ce magnifique instrument, je pus voir les innombrables touches noires et blanches qui le composaient et le siège très travaillé qui se trouvait face à cet instrument. Je ne l’avais pas remarqué mais, un jeune homme se tenait face à lui, et il jouait un air très beau. La musique entrait en moins, j’étais parfaitement sous son emprise… Soudain, le jeune homme en question me fit signe de m’asseoir près de lui. Je fis cela et – étonnamment – sans aucune hésitation. « Tu veux essayer ? » me dit-il d’un air bienveillant. « Euh… O-Oui, je v-v-v-veux b-bien… » Malgré la légère assurance dont je venais de faire preuve, je restais bègue et cela s’entendait très bien… Je posai mes doigts sur les touches et par je ne sais quel miracle, je venais de rejouer l’air que le jeune homme avait joué auparavant…
« Eh bien ! Regardez madame. » Le vendeur venait de s’adresser à ma mère. Je me retournai vers cette dernière, le sourire aux lèvres. Ils avaient tous deux l’air extrêmement surpris et de même pour le jeune homme à ma gauche. J’étais totalement satisfaite. Je me levai et me dirigeai vers ma mère, elle comprit de suite ce que je voulais : « Vendu ! Mais, il nous faudrait un autre instrument si possible… » Avait-elle dit l’air aussi enthousiaste que le mien. Le vendeur acquiesça et s’en alla quelques instants pour préparer les papiers qui nous permettraient de faire l’acquisition de ce piano. Mais, quand il revint, c’est un autre superbe instrument qu’il avait en main. « Je pense que le violon vous irait parfaitement ! » Je lançai un regard à ma mère qui me fit signe de l’essayer. Le vendeur plaça donc l’instrument entre mes mains et me montra comment en faire sortir un son mélodieux. Je pris donc une grande inspiration puis, je me mis à jouer mais, je ne m’étais pas aussi bien débrouillé qu’avec le piano… D’ailleurs cela m’agaçait un peu, il fallait absolument que j’y arrive : « P-p-p-ourrais-je l’av-v-voir aus-s-si s-s’il-t-te-plait ? » Demandais-je à mère… « Comme il te plaira. » Répondit-elle avec un air excité. Je venais de choisir l’instrument de prédilection de ma mère… Celui qu’elle avait joué en tant que professionnelle dans sa jeunesse mais, qu’elle avait laissé tomber après la naissance de ses enfants. En tout cas, j’avais hâte de me mettre à jouer, à ce moment là, je me sentais invincible, comme si j’avais le pouvoir de soulever des montagnes…

« Alors ? Tu l’as reçu ? » Criai-je à l’intention de Jonathan tout en le rejoignant dans le salon, une lettre en main. « Affirmatif ! » Me répondit-il les yeux rivés sur le sien. Je m’assis près de lui et m’empressai d’ouvrir le message que j’avais tant attendu. Après quelques secondes de lecture, nous criâmes à l’unisson : « Acceptée ! » puis, nous nous tapâmes dans les mains. Nous étions tous les deux admis à l’université. Pour ma part, c'était l'université de Cornell, à New York. Elle offrait le meilleur programme d'architecture du pays.
« Mademoiselle, monsieur il est temps d’y aller. » Me lança, mon chauffeur personnel. « Quoi ? Pourquoi maintenant, il est trop tôt ! » Lui dis-je en me dépêchant d’éteindre ma machine. « Tu donne une représentation au « Met » tout à l'heure, me répondit Jonathan, moi, je dois passer au studio d’enregistrement. Allons-y maintenant, comme ça je serai là pour t’applaudir et ensuite, on ira au Late Night de Letterman. » J’acquiesçai tout simplement et partis prendre mes deux tenues, celle du match et celle de l’émission, je ne pouvais pas me permettre d’être habillée de la même manière aux deux événements… Je voulus vérifier une dernière fois ma coiffure et mon maquillage avant de partir, mais, Jonathan me tira par le bras en roulant des yeux.
A l'extérieur, les flashs des photographes crépitaient et nos gardes du corps nous encadraient... La vie de célébrité n'était pas simple tous les jours... Pour Jonathan et moi, c'était même plus compliqué. Même après avoir connu le succès, nous avions continués d'aller dans notre lycée. En plus de cela, nous nous apprêtions à entrer à l'université, il allait donc être encore plus dure pour nous d'aller et venir à notre aise... Malheureusement, nos parents n'étaient pas là pour fêter la nouvelle avec nous, ils étaient tous les deux occupés. De plus, ils vivaient toujours à Londres.

FLASHBACK • Nos cicatrices ont le mérite de nous rappeler que le passé n'a pas été qu'un rêve •
« Ah, ma tête… » C’est la première phrase qui me vint. J’ouvris les yeux ce matin-là, même si l’horloge montrait midi passés. J’avais dix-neuf ans et je venais d’obtenir mon diplôme de fin d’année avec des notes exemplaire, comme d’habitude. Avec des amis, nous étions tous allée à Las Vegas fêter la fin des cours et apparemment, la soirée de la veille avait été bien arrosée car, je ne me souvenais quasiment de rien… Couchée sur le dos, je posai délicatement ma tête sur mon oreiller de peur de trop la bouger. J’étais habillée de ma tenue de la veille, j’avais même mes talons hauts… Je passai ma main sur l’autre côté de lit et il était vide…
Quand je passai ensuite ma main sur mon visage, je sentis quelque chose d’un peu dure au niveau de mon annulaire. Je regardai donc ma main et je ne pus croire ce que je voyais, c’était une alliance : « Oh… Mon… Dieu… » Je prononçais ces trois mots de manière détachée. Me serais-je mariée ? Et surtout avec qui ? Je fréquentais désormais Aaron, un jeune homme que j'avais rencontré à l'université, depuis presque deux ans. Je l’aimais énormément et jamais je ne me le serais pardonné si je ne m’étais pas mariée avec lui…
Je sautai du lit de la suite qu’Aaron et moi avions réservé et je m’enfermai dans la salle de bain. J’étais vraiment angoissée, mon cœur battait la chamade : « Respire Juliet, respire… » Pensai-je en entrant dans la cabine de douche. Je pris une douche froide en espérant que cela atténue mon horrible mal de tête. Ceci fait, j’allais enfiler la première chose que j’eus trouvé et me mis à chercher Aaron dans toute la suite. Mon cœur battait la chamade. Et si jamais, il n’avait pas d’alliance, qu’allais-je bien pouvoir faire ?
Je ne mis pas de temps à retrouver Aaron, il était assis dans le "salon" et avait l’air aussi inquiet que moi, c’était peut être bon signe… Je m’approchais de lui et regardai sa main, il avait bien une alliance. Je ne fus pas pour autant soulagée… J’avais toujours considéré le mariage comme une chose importante pour moi et le fait de m’être mariée en état d’ébriété me mettait mal-à-l’aise… Je regardai mon désormais mari dans les yeux et lui dis : « Qu’est-ce qui a bien pu se passer ? » Mais, il avait l’air aussi perdu que moi…
• Nos cicatrices ont le mérite de nous rappeler que le passé n'a pas été qu'un rêve • FLASHBACK
J’avais erré dans New York avec ma voiture durant plusieurs heures et je n’en pouvais plus... Je me sentais mal car je m’étais encore disputée avec Aaron… Je n’aimais pas ces situations-là, cela me faisait beaucoup de mal. Quand nous nous disputions, c’était toujours pour des futilités mais, aussi fiers l’un que l’autre, nous n’aimions pas nous excuser… Mais, cette fois-ci, c’était différent car, Aaron allait partir à la guerre. Foutu service obligatoire...
Nous étions mariés depuis maintenant plusieurs mois, je n'arrivais même toujours pas à le dire...
Sur le chemin, j’avais songé à faire un effort et à aller m’excuser la première car, je ne voulais pas que nous restions fâchés longtemps… Quand j’ouvris la porte de la maison, je cherchai Aaron dans toutes les pièces mais, il était introuvable ! Dans le dressing, la plupart de ses affaires avaient disparus. Il était partis, je ne pouvais pas le croire et je refusais de la croire mais, c’était bien le cas. Je m’assis sur la moquette et me mis à pleurer, je ne pouvais pas m’en empêcher, c’était plus fort que moi.

Huit ans... Huit ans que j'étais mariée à Aaron et trois ans qu’il était parti pour l'Irak. Il me manquait énormément même si nous communiquions par courrier… Mais, il m’avait annoncé qu’il avait l’intention de quitter l’armée sous peu et j’en étais très heureuse. Néanmoins, j’avais la peur au ventre et je priais pour qu’il ne lui arrive rien, pour qu’il me revienne sain et sauf.
FLASHBACK • Nos cicatrices ont le mérite de nous rappeler que le passé n'a pas été qu'un rêve •
J'avais eu une longue journée et tout ce que je voulais, c’était me coucher. Mais, une fois dans mon lit, je ne pus m’endormir. Aaron allait bientôt avoir une permission et j’allais donc pouvoir le revoir alors, j’étais toute excitée. Soudain, je reçus un appel : « Juliet Montgomery ? » demanda la personne au bout du fil. Le numéro affiché était inconnu, cela m'inquiétais. Vu ma situation, personne n'avait mon numéro, à moins que j'ai le sien en retour. « Oui, c'est bien moi. » répondis-je. Il y eut un court silence puis, la voix de la personne changea : « Bonjour Madame, j’ai une nouvelle bien triste à vous annoncer… Votre époux est décédé, hier... » A ces mots, le téléphone me tomba des mains. Comment cela était-il possible ? Je lui avais parlé quelques jours auparavant et il était heureux de savoir qu’il allait rentrer. Était-ce une mauvaise blague ? Je ne pouvais m’y résoudre.
• Nos cicatrices ont le mérite de nous rappeler que le passé n'a pas été qu'un rêve • FLASHBACK
Cela faisait maintenant un an qu’Aaron était décédé. Je ne m'en étais toujours pas remise... Je n’arrivais plus à parler et je n’avais même plus la force de pleurer. L'armée américaine lui avait décerné plusieurs décorations. La Médaille de l'Honneur car, il s'était sacrifié pour le bien de ses collègues militaires. Et la Purple Heart, parce qu'il était décédé sous les attaques ennemies. Aaron s'était couché sur une grenade lancée par l'ennemi, pour sauver les membres de son unité. C'était la seule solution pour qu'ils ne disparaissent pas tous. En tant que Chef d'Unité, c'était son devoir... J'étais fière de lui, fière de son courage, de sa dévotion... Mais il me manquait. J'avais la douloureuse impression qu'une partie de moi m'avait été enlevée... Et ce, même après un an.
J'avais été diagnostiquée dépressive. Jonathan, mon frère, m’était d’un grand soutien et il veillait tout le temps sur moi. Ma mère, qui était danseuse étoile, bien que très occupée prenait même le temps de venir me réconforter… Mon père, qui était un chirurgien très prisé, prenait même le temps de m’appeler ou de me rendre visite. Ils ne voulaient pas que « je fasse de bêtise ». Mais ils n’auraient jamais pu empêcher que le pire arrive. Ils n'auraient jamais pu empêcher que mon avion se crash.

Derrière le masque

pseudo sur internet ☩ BLUE

DREAMS. prénom ☩ Sarah. âge ☩ 17 ans. comment t'es arrivé(e) ici ? ☩ Topsite. tu penses quoi de tout ça ? ☩ MAGNIFIQUE. :bril:

le code ☩ c'est bon, chokobon un dernier mot ? ☩ Chocolat ? :leche:

Amandaaa

Bienvenue & bon courage pour la suite. :red:

Bienvenue jolie miss

Invité

Merci beaucoup ! :bril:

Invité

Amanda + du marina and the diamond en citation = :red:

Bonne chance pour ta fiche I love you

AMANDA

très bon choix d'ava :guh:

bienvenue ici bas et courage pour la fiche :love:

Bienvenuuuuuuuuuuue **

wowowow:

BIENVENUE SUR WHYDA !

Amanda C'est un très bon choix d'avatar.

Je te souhaite bon courage pour ta fiche, même si elle me parait quasi finie, si t'as besoin de quoi que ce soit, n'hésite pas à nous mpotter ! LOVE SUR TOI !

Invité

Bienvenue ici! J'adore Amanda, elle est tellement belle. En plus, ça me fait penser un peu à Diederick, la situation de Juliet (sublime prénom, BTW :nice:

) Lui aussi, sa femme est veuve. Shocked

OH AMANDA. Qu'est-ce que ça fait longtemps que je l'ai pas vu. Bienvenue parminou en touka et bonne chance pour ta fiche.

LICORNES SUR TOI.

PRENOM+AMANDA= Dynamite :anh:

Bienvenue

wowowow:

Ouh, ça va faire mal

pas tout de suite, mais bientôt

Q

ue nous sommes vilains tu dois te dire ! Pourtant, ce petit message n'est qu'à titre d'information - histoire de te prévenir. Parce que oui mon petit lapin, ça va faire une semaine que tu as lancé ta fiche, celle-ci n'étant pas finie, il te reste encore une semaine pour le faire. :frfr:

Attention à toi malgré tout, parce que si tu dépasses ton premier délai, tu n'auras pas droit à un deuxième - et oui, parce que deux semaines, c'est largement suffisant, m'après si t'as une raison en béton genre pc mort, soucis irl on comprendra et on pourra t'offrir des jours en plus. :proud:

ALLEZ. TU VAINCRAS. :mex:

Sinon on t'envoie du thé bouillant dans la face. :hatter:

wowowow:

Warning petit poulet. :aw:

Tu as jusqu'à demain pour finir ta fiche, sinon ton compte sera supprimé et ta fiche archivée. :3: