avoir vers qui aller, savoir qui on est tout bonnement. Sur WHYDA, les choses marchent ainsi : ton caractère sera accordé à ton groupe. Parce que oui, c'est le staff qui s'amuse à choisir à qui tu appartiens, si tu es plutôt imaginative à la manière Alice ou impulsive à la façon de la reine ! Essaie de diversifier tes traits, tu risquerais d'avoir bien des surprises.   

auvre âme en perdition. Sacrée gamine à l'imagination trop fertile, avant l'accident, qu'elle se retrouve dans le coma, elle était autrement. Avant, c'était qu'une fille influençable, quoi qu'un peu susceptible sur certains bords avec une capacité à vous répondre de manière cinglante, un coeur optimiste agrémenté d'un esprit plus que curieux. C'était une personne bien, qui se laissait porter par ses rêves, s'enfonçait dans ses retranchements jusqu'à ne plus en sortir. Pourtant, Alice, elle était aussi du genre revancharde, têtue comme un âne, des comme elle ? Y'en avait pas deux au pays des merveilles. Jusqu'à ce que tout éclate, jusqu'à ce que la pourriture sorte des pores de la terre. Qui elle était, ce n'est qu'un détail, la véritable question est, qui es-tu toi ?

e très cher chapelier. Avant que tout ça ne parte en vrille, il était un peu le pilier du pays des merveilles, fournisseur officiel des deux reines en thé ! Personne ne rivalisait avec lui, son côté hyperactif en rendait fous certains, et nom d'un chien, ce qu'il était bavard, ses conversations n'avaient pas forcément de sens mais quand il se taisait, il s'avérait extrêmement à l'écoute. Il était pas profondément mauvais, pourtant le chapelier pouvait se montrer salement peste, avec sa manie d'être moqueur, aussi arriviste comme affreusement sarcastique. Mais, c'qui le qualifiait bien ce chapelier toqué, c'était sa capacité à changer d'humeur en un claquement de doigts, lunatique ce cinglé, bancal comme une horloge cassée et pourtant distingué à l'instar des grands ducs. Il était explosif, explosant, explosé. Qui il était, ce n'est qu'un détail, la véritable question est, qui es-tu toi ?

h la très chère reine de coeur, ou reine rouge, à vous de voir comment vous aimez la nommer. Avec le chapelier, elle formait le coeur même du monde des merveilles, avec sa terreur et ses têtes qui volent. Elle se considérait comme la véritable dirigeante de ce monde, n'avait pas de pitié. On peut même dire d'elle qu'elle était très gueularde, castratrice et susceptible. La reine disait les choses telles qu'elles étaient, n'hésitant pas à montrer son mécontentement si besoin, elle était pourtant loin d'être stupide, bien au contraire, son esprit était très affuté, on la disait même réfléchie, rationnelle et peut-être trop sûre d'elle. L'ambition coulait dans les veines de la souveraine, et malgré la hache qu'elle pouvait faire tomber sur des têtes, elle restait distinguée qu'importe la situation. On peut même sans mentir, balancer qu'elle était égoïste, mais, c'est parce que son coeur était difficile d'accès. La reine était fermée au monde, ne s'écoutait qu'elle seule parce que sa confiance, elle ne l'offrait à personne, à la place elle faisait couler le sang. Qui elle était, ce n'est qu'un détail, la véritable question est, qui es-tu toi ?

ue serait le pays des merveilles sans le chat ? Qu'est-il d'ailleurs aujourd'hui sans lui ? Un lieu encore plus étrange qu'il ne l'était avant. C'était qu'un matou, pourtant il était humain en même temps, avec sa perfidie en plus. Il était un bien grand philosophe à un autre degré que la chenille, charismatique et souriant, après tout, qui ne connaît pas ici les dents du chat du Cheshire ? Certainement personne, ce serait pure honte de ne pas les avoir croisées au moins une fois. Ce n'est pourtant pas parce qu'il attire la confiance, qu'il est forcément digne d'avoir votre coeur entre ses pattes, c'était un vicieux manipulateur, mesquin et égoïste. C'est pas qu'il était pourri de l'intérieur, c'est juste qu'il pensait à sa personne, malgré sa partie tactile comme à l'écoute. Ce pacha maigrelet, c'était quelque chose, surtout un fervent orateur, qui à lui seul aurait pu fonder sa propre secte. Qui il était, ce n'est qu'un détail, la véritable question est, qui es-tu toi ?

paraît que c'est la première invention d'Alice, y paraît qu'il était là avant tout ce beau monde, mais qu'il avait été mal façonné. Le lapin, c'était l'horloge causante du pays des merveilles, la bestiole un peu trop apeurée pour se lancer dans de grands combats. C'est pas qu'il avait rien dans les bras, c'est qu'il était fuyard, méfiant et au nom d'Alice qu'il était nerveux. Le lapin était une boule de nerfs sur pattes, qui, à cause de la peur, agissait de manière très impulsive. Malgré tout, il faisait pas de mal à personne, c'est bien vrai, cette boule de poils était passive comme peu de personnes le sont ici. Bon, il avait quand même de grosses qualités ! L'on sait de source sûre qu'il était très attentionné, respectueux, prévenant et surtout bavard ! Quand il commençait à déblatérer ses craintes, il n'en finissait plus. Une dernière chose, c'est que le lapin, il courait très vite, on peut même affirmer qu'il était infatigable. Toujours à fuir les problèmes, appréhendant le jour où ils viendront lui arracher les oreilles. Qui il était, ce n'est qu'un détail, la véritable question est, qui es-tu toi ?

l était la seule âme saine de ce monde, il était l'esprit avancé que personne n'était - ou pas. On parlait de la chenille comme d'une fumeuse invétérée, accompagné d'une philosophie bien à elle. Elle était pas bien grande, ni bien petite, elle avait sa dégaine d'insecte qui attendait avec patience le jour où elle deviendrait papillon, alors oui, elle était calme, surtout moralisatrice avec un mélange sarcastique. C'est pas qu'elle était difficile à vivre, mais la chenille était complexe à comprendre. Indiscrète, hautaine sans forcément le montrer, elle cachait son jeu comme on pouvait jouer avec des cartes : rapidement. S'avérait aussi qu'elle était polyvalente, en tant que bête rampante, se faire à toute situation possible était une manière de vivre. Elle lavait des cerveaux, remuait des têtes et voulait refaire le monde. Qui elle était, ce n'est qu'un détail, la véritable question est, qui es-tu toi ?