conte-nous ta mort ☩ l'odeur âpre de la sueur, le bruissement de l'eau qui coulent en pluie diluvienne, des corps nues s'humidifiant doucement, et la chaleur étouffante de la vapeur, parfaite scène d'introduction de film pornographique. Pourtant, en cet instant, alors que le tranchant de cette brosse à dent taillée, lui rentrait entre les côtes, il n'eut jamais aussi froid. Ce froid glacial, ce froid vide, ce froid qui sonnait comme la mort. Il n'eut qu'avant de touché le sol rouge de sang, qu'un cri roque et sonore s'échappa de son être, tel une banshee prédisant sa propre fin.

que penses-tu du pays des merveilles actuel ? ☩ il se réveilla seul, perdu dans cette faune trop abrupte pour lui. Un  flash-back sourd prit possession de son cerveau décrépie, alors qu'il comprenait peu à peu, qu'il avait acquis sa liberté. Et dans cette situation, il ne put que rire quand il prit conscience de sa mort. Le rire insoutenable de sa folie inexistante.

et sinon, tu dois bien avoir un endroit préféré en ce lieu, non ? ☩ dans ce bois froid et silencieux, il s'endort, ce bois effrayant, et triste. Ce bois à ton image, celui de tulgey. Mais de tout ses arbres sinueux, il ne peut s'empêcher de s'assoir au près du grand chêne.

☩ a une fascination pour les jeunes filles en fleurs, surtout quand elles ont les cheveux noirs encres. ☩ a grandit dans une famille monoparentale, avec sa petite sœur, Cocaïne, de cinq ans sa cadette. ☩ il n'a jamais connu son père, du moins, il n'en a aucun souvenir. ☩ il fut un échec scolaire, de sa primaire jusqu'au lycée, inadapté socialement soit-disant. ☩ est extrêmement minutieux, et méticuleux, il fait attention à chaque détail, c'est probablement grâce à ça qu'il a pu échapper à la police pendant presque de vingt ans, et aussi parce qu'on a jamais retrouvé les corps avant elle. ☩ le perturbé alors qu'il réfléchit est très dangereux, il a l'impression qu'on l’empêche de penser et donc d'exister, cela le met dans une rage folle. ☩ il reçu à son arrivé un bâton-cheval, il a rigolé d'un rire hystérique quand il l'a vu, ce monde a vraiment un sens de l'humour. ☩ il a fait une dizaine de victime depuis qu'il est ici, savourant cette univers sans loi, et sans maître. ☩ il a des connaissances sur les plantes, et essaye tant bien que mal de les regrouper avec celle du pays des merveilles, mais se confronte à beaucoup de difficulté. ☩ il fait des recherches et des expériences avec les plantes ici, pour arriver à crée son propre alcool, donc s'il vous propose à boire, soyez intelligent, refusez.

   

lle courait ses cheveux volaient au vent, tel un tourbillon d'encre noir. Ils flottaient dans le ciel orangé, un coulant de cendre dans le feu brûlant d'un volcan, explosant dans le paysage comme sur la toile d'un tableau. Ses yeux si expressifs brillaient d'une lueur inconnue de tous, surtout de lui, pendant qu'elle jetait des regards agités en arrière. Elle s'éloignait de lui, toujours plus vite. Il essayait de l'attraper. Encore et encore. Elle était si frêle, et pourtant elle le distançait doucement, l'empêchant d'atteindre l'objet de sa quête divine. Elle était en cet instant délicieux tout ce qui faisait qu'il aimait la vie. Ses rires d'agonies brisaient le bruit de ses pas frénétiques. Elle s'arrêta brusquement devant la contemplation du vide. Il attrapa ses hanches, la rejoignant finalement, posant des milliers de baiser dans son cou, s'avançant un peu plus vers une chute mortelle. Elle se débattait la gourgandine, refusant son affection avec un éclat incontrôlé. Il la regarda, la retourna violemment, elle avait les joues rougies humides.  Son visage était plus doux que celui d'un ange, et avait cette innocence écorchée qui lui broyait les entrailles.  Non, ne pleure pas tendre fleur, je ne te ferais jamais de mal. Ma douce, je t'aime. Tu le sais ? Elle s’immobilisa, se figeant dans ses bras. Était-elle touchée ?  Était-elle émue ? Il l'espérait. Il fallait qu'elle comprenne. Qu'elle sache à quel point il l'aimait. A quel point il ferait tout pour elle. Il la serra de plus en plus fort. Il posa alors ses lèvres sur les siennes, chaude, salée, comme une gourmandise. Il se perdit dans sa passion, ne pouvant plus décrocher sa bouche. Elle était là. Contre lui. Son portable sonna d'un coup. Il la lâcha alors que son corps fin s'étalait au sol graniteux.  Il attrapa son bras, la soulevant pour la caler sur son épaule. Il ouvrit la porte du toit de l’entrepôt, descendant le cadavre vivant qui gisait sur son dos.  Elle glissa sur un canapé décrépie, tendant sa cheville endolorie d'un signe d'abandon, alors que tel le prince Henri glissant la chaussure de verre, il attacha avec délicatesse l'épaisse chaîne autour de sa fine articulation. Et quand il quitta enfin la pièce, il ne la laissa que seule, dans ce noir aussi profond que celui de sa crinière de jais. Et seule ses sanglots résonnaient à présent dans la pièce.
Ses jambes entrelacés autour de celles de son amant, elle gémissait. Il n'était même pas beau, trop vieux pour elle. Comment pouvait-elle faire ça ? Comment pouvait-elle le trahir ainsi ? Ses cheveux noirs dans sa paume trop dure, elle aimait ça. Il le voyait, de cette embrasure de la porte. Cocaïne, et cet homme qui aurait pu être leur père. Cocaïne, et son visage relâché de toute expression. Elle hurla dans l'orgasme foudroyant, s’entremêlant au bruit rauque de celui de son partenaire. L'être qui souillait sa sœur, se leva balançant une liasse de billet sur le lit. Il ne lança qu'un regard au gamin, planté là, avec un de ses sourires, une de ses mimiques, qu'il sut, oui il sut ce qu'il lui disait. Tue-la, boy, tue-la comme t'as tué Poppers. Tu sais, ton chien. Dans un accès de colère quand il a osé courir dans les jambes d'un autre maître que toi. Allez, boy, fait-le. Et ce fut le noir. Rien que le noir. Du sang. Partout. Sur le lit, sur les draps, sur le visage verglacé de la reine, sur son corps, sur les corps. Qu'est-ce que tu as fait, Pony ? Bordel qu'est-ce que tu as fait ? Et lui ne répondait pas au cri insaisissable de sa mère. Il restait là, silencieux, un air béa sur les lèvres. Il ne comprit plus tard, quand sa mère, cette femme si belle, monta attaché dans la voiture, qu'il était seul. Seul avec sa folie.  

   pseudo sur internet ☩ save me barry. prénom ☩ ysé, mes lapins. âge ☩ dix-huit años. comment t'es arrivé(e) ici ? ☩ BAZZART MA GUEULE. tu penses quoi de tout ça ? ☩ cey fou   . le code ☩ yes sir poney !  un dernier mot ? ☩ I'M THE GOD OF PONEY, I'M THE UNICORN      .
   

On y eeeest. En plus tu t'fais valider par un dieu, si c'est pas de la chance, je te jure.   Bref ! T'es tout beau et tout bon, alors voilà, j'ai vraiment hâte de voir ton dingue de petit poney à l'action, ça va roxxer !   

lors comme ça, t'es convaincu que tu peux survivre ici, toi, petit tas de viande ? Vraiment ? Oh, très bien, tu pourras pas dire qu'on t'a pas prévenu, c'est à tes risques et périls de t'aventurer dans cet univers douteux. Qui plus est, tu veux savoir le meilleur ? Tu m'rappelles énormément quelqu'un qui habitait ici, qui appréciait ce monde malgré ses mauvais côtés, on dirait que t'es le chat du cheshire, c'est étonnant comme les esprits peuvent se croiser. Quoi qu'il en soit, ces êtres ne sont plus là et c'est bien pour une raison, mourir une fois c'est une chose, claquer une deuxième fois et ici, c'est une autre histoire. Pour commencer, avant de t'offrir le repos du guerrier, tu vas devoir recenser ta face de rat, parce que certes les dieux du forums sont multi-fonctions mais il faut que tu bouges un peu toi aussi ! Ensuite, tu pourras en toute innocence te diriger vers les liens, les rps, c'est toujours plus amusant de butter du monstre à deux, ou plus, non ? Ceci étant fait, tu pourras toujours par extension, te créer une autre âme en peine, parce que plus y'a de fous, plus ça rigole dans les couloirs ! Et pour finir ? Rien, si ce n'est gaffe à ta tête qui peut bien vite tomber. (au cas où tu l'aurais pas remarqué, nous t'offrons 10 points pour ta validation, sicépabo ça ?)

Le staff de WHYDA te souhaite bon amusement, bon RP et bon décès !