conte-nous ta mort ☩ Il a tout brisé n’est-ce pas ? Bien sûr qu'il l'a fait. En mourant. Sans que tu ne puisses rien faire. Toi qui y croyait tant. Te voilà bien dépourvu. Toi tu avais choisi infirmière pour aider les gens à vivre. Pas pour les aider à mourir avec plus de douceur. Mais la souffrance à chaque quinte de toux à fait naître en toi la rancœur contre ce métier. Je vais te dire, ça se voyait que tu l'aimais bien Gabriel. Un peu trop même. Pupilles azures qui s'accroche à pupille azures. Tu l'aurais libéré de sa douleur si on l'avait pas fait avant toi. Mais tu ne sais pas ce qu'on a fait à ton bel ange meurtris. Tu sais juste qu'un matin, tu es arrivé et que Gabriel était mort. Alors quelques jours plus tard quand il a fallu l'enterrer, tu étais là. Il t'aurait sûrement trouver belle dans cette robe noire. Rien avoir avec ta tenue blanche d'infirmière. Cette robe, noir, charbon, fendue sur la cuisse, légèrement, comme un dernier hommage. Et tes talons. Mon dieu, t'y avait pas pensé à cette herbe fraîche et mouillé. Non, non, tu voulais être belle pour lui. Traversant les allées mouillées par la rosée fine, voilà que tu te tord une cheville. Bravo. Tu glisses. Et comme une douce ironie, tu te rompt le cou en tombant la tête la première dans une fosse vide. Trou creusé. Elle ne sera pas tienne cette place. Le coup du lapin. Te voilà dans son terrier.

que penses-tu du pays des merveilles actuel ? ☩ Tu ne sais pas pourquoi tu es là n'est-ce pas ? Non, bien sûr que non. Enfer, paradis, un peu des deux. Est-ce que tes dernières pensées ont était pour un ange et c'est ce qui t'a condamné ? Tu ne sais pas. T'es là avec ta robe noire fendus, une ombrelle dans la main et un duo d'éventail dans l'autre. Tu sais pas quoi en faire. Un vieille instinct de paranoïa te souffle de tout garder. Tu tiens fermement ton sac à main entre tes doigts. C'est bizarre ici n'est-ce pas ? A la fois effrayant, sale, monstrueux et... apaisant. Comme si toutes tes pensées meurtrières t'avaient envoyé dans ce monde bizarre. Comme une punition. Ça te fait presque plaisir. Mais n'empêche pauvre Rozen. T'as jamais demandé ça toi. Tu voulais même pas mourir. Et ta robe qui s'accroche dans une branche, lé déchirant un peu plus. Ton sac, ton sac, tu sais que t'as une tenue de rechange de dedans. Bien, bien parfait. Un jeans noirs, tu avais peur qu'il fasse froid avec ta robe. Tu.. tu te caches derrière un arbre, même si y'a personne et tu balances tes talons dans le fond de ton sac, on sait jamais. Tu sautes dans ton jeans, enfile un t-shirt tout aussi noir et une veste un peu cintré noir. La parfaite panoplie de la mort. Avec tes grands yeux blancs vifs et ta bouche carmin. Ton teint pâle et ta chevelure ébène complète le tableau. Tu vas parfaitement avec le tableau. Un monde qui pourrit. La mort qui vient l'achever. Tes pieds nu ? Tu t'en fiches. Tu ramasses ton sac, ton ombrelle et tes éventails et te voilà partie. Néanmoins, tu sens l'air plein de poussière alors t'enfile ton petit masque de protection. T'as l'air bien comme ça, pied nu dans la terre, un masque de médecin sur la bouche et ton sac à main sur l'épaule. Tu découvres ce monde bizarre, obscur, qui t'étouffe et t'effraie. T'es pas bien ici. Tu voudrais partir.

et sinon, tu dois bien avoir un endroit préféré en ce lieu, non ? ☩ La forêt luminescente, de nuit particulièrement évidemment, car c'est d'une beauté à couper le souffle. Mais même le jour tu aimes bien cet endroit. De toute façon quand les lutins t'insultent, tu leur renvoies copieusement l’ascenseur. Ils t'effraient un peu mais tu te laisses pas faire, sinon bonjour les dégâts. Et puis t'as bien remarqué qu'avec un petit coup d'ombrelle, ils faisaient plus trop les malins. Suffit que tu sortes tes éventails pour qu'ils arrêtent... un peu. Mais peu importe, rien ne t'empêche, la nuit, de t'allonger dans un silence apaisant, seulement troublé par l'eau qui coule doucement.

☩ Tu étais une bonne personne, vraiment. Ton but ultime était d'aider les gens à moins souffrir. C'est pour ça que tu as choisit le métier d'infirmière. Mais au fur et à mesure, à chaque perte de patient ton rêve s'est effrité. Brisant les quelques bons moments où ton travail en sauvait d'autre. Et puis il y a eut Gabriel. Et tout est devenu compliqué pour toi. ☩ Tu n'aimes pas la violence gratuite, ça la répugne. Cependant, tu conçois qu'on puisse avoir à se battre parfois et accepte la violence justifier avec un sang-froid impressionnant. ☩ Asthmatique quand tu étais plus jeune, aujourd'hui tu te déplace toujours avec de la ventoline, même si tu n'en souffres plus. Adeptes du diction "mieux vaut prévenir que guérir" tu préfères être prête en cas de crise incongrus. De plus, tu as aussi toujours plusieurs masques pour protéger ton nez et ta bouche si l'air te semble trop poussiéreux. ☩ Tu as un tatouage, juste en dessous du sein gauche, une paire d'aile noire, symbole de l'ange. ☩ Tu t'es faites agressée une fois, depuis, tu fais très attention aux gens autour de toi, tu es devenues beaucoup plus observatrice et il y a même eut une période où tu étais "légèrement" paranoïaque, cet endroit pourrait réveillée ce vieil instinct. ☩ Tu as une voix très douce, et particulièrement apaisante, elle te correspond bien, tu savais comment rassurer les gens. Cela dit, tu ne parlais pas beaucoup non plus et était plutôt du genre discrète. ☩ Ta plus grande phobie est et a toujours été les clowns, depuis ton plus jeune âge, le grand sourire factice sur leur visage a traumatisé ton regard d'enfant, rendant les clowns terrifiant à vie. ☩ Tu adorais lire, si tu pouvais trouver ne serait-ce que cinq minute pour t’asseoir et lire un peu, tu le faisais. Tu as une passion dévorante pour les romans à l'eau de rose avec des histoires d'amours à faire vomir des paillettes à un sociopathe. ☩ Tu as eu un fiancé entre 22 et 25 ans, seulement, lorsque tu t'es faite agresser, tu a aussi perdue le bébé que tu portais. La paranoïa qui a suivit ton agression et la perte de ton bébé a peu à peu brisé ton couple. Depuis, tu n'ess ressortie avec personne et tu t'es consacrée à ton travail. ☩ Tu jouais merveilleusement bien du piano, comme si tu avais eut un don pour ça. Cependant tu ne l'as jamais exploité pour autre chose que pour faire plaisir à ta famille et à quelques amis qui te demandait de jouer pour eux.

ouce, douce comme un cœur. Gentille. Un véritable amour. Elle aurait aidé une fourmi si elle avait pu. Elle se contentait parfois d’aider les oiseaux. Douce. Douce. Douce. Et si belle avec ses grands yeux bleus. On aurait décroché la lune pour un sourire. Pour la satisfaction dans ses yeux d’enfant. Elle a toujours un effet bénéfique sur les gens. Comme un pouvoir. C’était à la fois bizarre et en même temps elle agissait comme un baume contre le monde, contre sa dureté et sa violence. D’une candeur agréable. D’une douceur incroyable. Une merveille. Je n’ai jamais vu quelqu’un ne pas l’aimer. Même les pires brutes n’osaient s’en prendre à elle. Et pourtant elle aurait une proie facile. Si fragile. Si douce. Mais pas faible pour autant bizarrement. Rozen. La beauté aux épines.

Elle aimait tout le monde, et tout le monde l’aimait. Il était difficile de faire autrement que de l’aimer d’ailleurs. Il suffisait de plonger ses yeux dans son regard azur pour en être fou.  Elle était plus que simplement douce et simplement belle. C’était une âme pure et d’une perfection qui en ébranlait plus d’une sur son passage. Elle redonnait l’amour qu’on lui portait au centuple. Une perle. Mais il faut bien que les choses s’écaillent, sinon, il n’y a pas d’histoire. C’est arrivé plus tard néanmoins. Devenu infirmière pour enfin aider le monde autour d’elle à aller mieux, elle a finit par rencontrer un homme à qui elle a donné tout son amour. A qui elle a d’ailleurs tout donné. Et qui faisait de même en retour. Pourquoi est-ce que je vous parle de ça alors que j’avais prévu de vous parlez du moment où sa perfection s’est écaillée ? Elle avait 22 ans quand ils se sont rencontrés, 25 quand tout a basculé. Ils allaient avoir un enfant. Elle sentait du plus profond de son cœur s’était un petit garçon qu’elle allait donner à l’homme de sa vie. Mais un soir, alors qu’elle rentrait, elle s’est faite agressée, et dans cette lutte pour sa vie, elle a malheureusement perdu le bébé qu’elle attendait. Rendue dépressive et paranoïaque par cette attaque, son couple s’est peu à peu fissuré, pour éclater dans un million de petits missiles. Bousillant cette perfection de vie qu’elle s’était construite. Pauvre Rozen. Passer de la perfection, douce, fragile et adorable à un nouveau stade de fragilité. Peur, paranoïa. Elle se retournait sans cesse avec l’impression d’être suivit. Peur de sa propre ombre. Depuis, tu n’as eu aucune relation amoureuse. Mais il y a bien un ange qui t’aurait ébranlé et qui aurait tout changé pour toi. Un ange pour qui tu aurais tout fait. Un ange qui t’a bousillé lui aussi.

Gabriel. Beau dans son agonie. Beau dans sa lente mort. Beau dans sa souffrance. Elle lui aurait oté cette souffrance s’il lui avait demandé. Un mot un seul et elle aurait abrégé sa souffrance. Sans qu’elle ne le sache, quelqu’un l’a fait avant elle, lui dérobant son ange. Et c’est à l’enterrement de son ange qu’elle a perdu la vie. Le coup du lapin et la tête la première dans le terrier.

pseudo sur internet ☩ nana(beat). prénom ☩ Leïna. âge ☩ 18 ans. comment t'es arrivé(e) ici ? ☩ Grâce à Gabriel qui m'a montré le forum   . tu penses quoi de tout ça ? ☩ c'est sympa... non je déconne c'est horriblement parfait ! le code ☩ gourgandine.  un dernier mot ? ☩ De quel couleur sont les petits pois ?

ue nous sommes vilains tu dois te dire ! Pourtant, ce petit message n'est qu'à titre d'information - histoire de te prévenir. Parce que oui mon petit lapin, ça va faire une semaine que tu as lancé ta fiche, celle-ci n'étant pas finie, il te reste encore une semaine pour le faire. Attention à toi malgré tout, parce que si tu dépasses ton premier délai, tu n'auras pas droit à un deuxième - et oui, parce que deux semaines, c'est largement suffisant, m'après si t'as une raison en béton genre pc mort, soucis irl on comprendra et on pourra t'offrir des jours en plus. ALLEZ. TU VAINCRAS. Sinon on t'envoie du thé bouillant dans la face.

L'histoire de Rozen, en particulier le fait qu'elle ait perdu son enfant et son compagnon de l'époque, m'a fait beaucoup de peine. Ton style est très fluide, ça se lit très aisément. Le groupe s'est un peu imposé comme une évidence.   

lors comme ça, t'es convaincu(e) que tu peux survivre ici, toi, petit tas de viande ? Vraiment ? Oh, très bien, tu pourras pas dire qu'on t'a pas prévenu(e), c'est à tes risques et périls de t'aventurer dans cet univers douteux. Qui plus est, tu veux savoir le meilleur ? Tu m'rappelles énormément quelqu'un qui habitait ici, qui appréciait ce monde malgré ses mauvais côtés, on dirait que t'es  alice, c'est étonnant comme les esprits peuvent se croiser. Quoi qu'il en soit, ces êtres ne sont plus là et c'est bien pour une raison, mourir une fois c'est une chose, claquer une deuxième fois et ici, c'est une autre histoire. Pour commencer, avant de t'offrir le repos du guerrier, tu vas devoir recenser ta face de rat, parce que certes les dieux du forums sont multi-fonctions mais il faut que tu bouges un peu toi aussi ! Ensuite, tu pourras en toute innocence te diriger vers les liens, les rps, c'est toujours plus amusant de butter du monstre à deux, ou plus, non ? Ceci étant fait, tu pourras toujours par extension, te créer une autre âme en peine, parce que plus y'a de fous, plus ça rigole dans les couloirs ! Et pour finir ? Rien, si ce n'est gaffe à ta tête qui peut bien vite tomber. (au cas où tu l'aurais pas remarqué, nous t'offrons 10 points pour ta validation, sicépabo ça ?)

Le staff de WHYDA te souhaite bon amusement, bon RP et bon décès !