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Les conséquences de la première INTRIGUE de WHYDA, c'est par ici ! :proud: :cat:
N'hésitez pas à REMONTER WHYDA sur bazzart ou prd :hin: :fox:

Ce n'est pas parce que le forum a une annexe sur les troubles qu'il est obligatoire de jouer un personnage malade.
UN SAIN D'ESPRIT c'est tout aussi bien. :rabbit: What a Face
Il est obligatoire de BIEN lire les annexes, auquel cas le staff vous mordra les fesses. :ivil:
Nous n'acceptons pas les pseudos à initiales - retournons aux origines simplistes les enfants. :aw:
Entre autre, pour continuer sur les pseudos, les prénoms trop excentriques (drogue, alcool
:chaat: ou autre totalement improbable) sont INTERDITS, merci de rester réalistes. :chaat:
Les personnages du pays des merveilles ne sont pas acceptés, seuls les morts peuvent passer ! :maw:
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 (pnj autorisé. ) Nous sommes tous pathétiques. C’est ce qui rends la vie intéressante. (izoah)

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Izia St-John
Izia St-John

❝ nous sommes tous fous ❞

✢ DENTS PERDUES : 306
☩ CERVELLES GAGNÉES : 3914
✢ ARRIVÉ AU PAYS LE : 25/06/2014
✢ PSEUDO : re-l
✢ AVATAR : Nastassia Lindes ♥
✢ CREDITS : glass skins
✢ AGE DU PERSONNAGE : 23 ans.
✢ JE SUIS : Alice
✢ DANS TES POCHES : rien, ou juste pas assez pour survivre. De ce monde, elle n'a rien qui l'aide, vide, elles sont. peut-être une ou deux baies de la reine, trouver à terre, mais rien de plus.
✢ TA VIE : 100/100
✢ ANCIEN METIER : Ca n'a rien eu d'un métier. Voleuse. Rien de bien, mais elle n'a su faire que ça, ainsi que de se perdre dans les bras de Manoah, c'est avec lui qu'elle a volé, haut dans le ciel, avant de sombrer. Mais avant que la mort vienne déposer un baiser sur les lèvres, elle volait, de tout de rien. Il faut bien vivre.
✢ LOCALISATION : Elle n'a pas pris le temps de s'attacher aux lieux, aux choses. En mouvement, tout le temps, sans cesse, elle n'oublie pas qu'il y a un autre monde, et là, il y a ces lieux qu'elle chérit tant, avec une tendresse infinie.
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« Cinq minutes d'éternité avec toi. »
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✢ JE EST UN AUTRE : Je est un autre jeu ->
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MessageSujet: (pnj autorisé. ) Nous sommes tous pathétiques. C’est ce qui rends la vie intéressante. (izoah)    (pnj autorisé. ) Nous sommes tous pathétiques. C’est ce qui rends la vie intéressante. (izoah)  EmptyVen 27 Juin - 0:59

(pnj autorisé. ) Nous sommes tous pathétiques. C’est ce qui rends la vie intéressante. (izoah)  Tumblr_m9nscb6Cp51r3xqobo10_r1_250(pnj autorisé. ) Nous sommes tous pathétiques. C’est ce qui rends la vie intéressante. (izoah)  Tumblr_n08nilrRfM1qeiduso4_250
« - Pourquoi rêver est-il si important ?
- Parce que dans mes rêves on est toujours ensemble.»


Un pas, deux pas. Et tous les autres. De puis qu'elle a laissé sa carcasse dans prendre un chemin autre, depuis que sa carcasse se trouve dans un monde qu'elle ne comprend pas. Que ce soit le paradis ou l'enfer, elle n'a pas envie de rester dans cet endroit, elle veut aller ailleurs, elle veut se trouver ailleurs. Sur terre, avec des buildings, avec des maisons, avec Manoah. Manoah que ses yeux cherchent, ils cherchent cette silhouette, ils cherchent la tendresse de son regard, la douceur de ses sourires. Ils cherchent cet être que son coeur a laissé partir. Parce qu'elle n'est qu'une sale gamine. Ou juste qu'elle n'a pas su faire la différence, qu'elle n'a pas vu la réalité les rattraper à grands pas. Ils se sont perdus, comme elle se perd dans un monde qu'elle ne connait pas, dans un monde qui malgré les semaines qu'elle écume, elle ne sait pas, elle n'arrive pas à trouver un point fixe, un point qu'elle peut se poser. Elle s'est perdue dans ce monde, elle s'est perdue depuis qu'elle est morte. Morte, elle sait qu'elle l'est. Morte, elle sait qu'elle l'est quand parfois la douleur lui prend dans le ventre. Petite princesse, petite rêveuse qui croit qu'au bout de la route, elle a trouvé son prince. Mais dans cette course vers nulle part, le prince n'est pas là. Il est sorti par la mauvaise porte, et il a fallu vivre, ou essayer, sans lui. La princesse, sans château, et sans royaume, ne fait qu'errer comme une enfant qui pleure après son doudou. Et ses pas l'ont mené à la vallée des larmes. Vallée qu'elle vient à peine de découvrir. Vallée que ses yeux regardent avec une attention particulière, une attention comme à chaque fois qu'elle découvre quelque chose, qu'elle découvre un lieu que ses yeux n'ont pas encore enregistré. Si la folie ne la touche pas encore, celle de lieux la trouble par la beauté qu'elle arrive à y cerner, doucement, mais surement. L'hostilité lui fait parfois prendre du recul, ou juste l'idée de prendre à son cou est présente, l'idée de fuir doucement, pour chercher une porte qu'elle ne connait pas, qu'elle n'a pas trouvée sur le chemin. Se réveiller ici, se réveiller et se rendre compte que le monde à changer, et la mort aussi, qui nous a pris. Princesse perdue, elle a serré ses éventails dans ses mains. Même si les monstres sont présents, elle fait attention de ne pas se blesser inutilement. Mais la faim n'est pas présente, elle laisse se perdre de toute façon, elle prend sur elle, elle connait assez pour savoir quand il y a une limite, et quand elle est là. Mais connaître, elle ne veut pas, elle ne veut pas se perdre, elle ne veut pas se souvenir. La douleur de ceux-ci lui prend le coeur, et la paralyse assez pour la blesser. Petite princesse qui sert ses deux armes dans sa mort, elle n'a pas envie de se faire attaquer par une bête qu'elle ne connait pas, qu'elle a déjà rencontrée. Elle ne sait pas si au bout du chemin, elle trouvera ce qu'elle cherche, ou si elle verra la mort pour de bon. Izia s'avance sous la verdure, jusqu'à trouver son chemin jusqu'à la fontaine. Et de ses yeux de petites filles, elle trouve la statue qui cache son visage avec ses mains. Elle regarde doucement la douceur et la violence du lieu. Elle reste là, silencieuse, à regarder quelque chose qui semble bien plus réel qu'elle. La blonde ne s'attarde pas, elle n'a pas le temps de se poser. A rester là sans rien faire, elle n'a pas vu une ruine s'approcher. Elle se traite d'idiote, parce que dans le fond, c'est ce qu'elle est, une idiote. C'est quand elle baisse les yeux qu'elle pousse un cri, en s'accrochant à ses éventails. Elle les déplie et se met en position de défense, quand elle le voit trop proche de lui, elle lui offre un coup, et un second avant de partir en courant, elle ne se rend pas compte que la créature n'est pas morte, elle ne veut pas le savoir. Elle court sans se soucier du reste, sans soucier de ce dont elle a ses trousses. C'est une fois qu'elle estime assez loin qu'elle regarde derrière elle. Elle est une idiote, elle devrait se défendre, elle devrait vraiment savoir le faire. Mais elle n'y arrive pas, le coeur n'y est pas, où ne l'a pas suivi dans ces lieux. Elle se laisse glisser contre une paroi, en ramenant ses jambes contre elle. Elle les serre un moment, en regardant autour d'elle. Elle a envie de partir, c'est normal, de vouloir un monde où l'on a ses marques, ses habitudes. Izia soupire, et repose ses yeux, quelques instants, jusqu'à ce que la faim la tire d'un micro sieste de quelques minutes. Elle se hisse doucement, et cherche quelque chose qui ne demande pas à se battre. Un petit tas de bois attire enfin son regard. Un petit tas qu'elle rejoint avec ses pas. S'il s'est voulu discret, la blonde ne peut que l'admirer, ça a réussi, il faut vraiment faire attention pour voir ce petit espace créer. Mais elle n'est pas là pour baver devant un travail qui n'est pas le sien, elle est seule, et il faut qu'elle trouve de quoi mange, ou rassasier sa faim. Elle a essayé les insectes, et elle n'a pas su finir ce qu'elle a pêché comme bêbêtes. Ses yeux fouinent, jusqu'à trouver un coffre. Agile comme un chat, elle se rend à ce petit coffre. Et quand elle l'ouvre, elle regarde si rien ne lui est utile, elle écarte des champignons, et des orties pour trouver pour trouver une vieille peau. Elle la prend, elle peut servir de coussin, elle cherchera après une couverture plus tard. Si elle s'est contentée de la chaleur de son coeur, ça ne risque pas suffire longtemps. Enfin, si de son vivant, la vie était incertaine, ici, elle l'est plus encore. Mais, est-elle en vie ?


Dernière édition par Izia St-John le Ven 27 Juin - 23:17, édité 1 fois
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Manoah Straton
Manoah Straton

❝ ce n'est jamais l'heure du thé alors ?! ❞

✢ DENTS PERDUES : 12
☩ CERVELLES GAGNÉES : 3653
✢ ARRIVÉ AU PAYS LE : 26/06/2014
✢ PSEUDO : Chae'
✢ AVATAR : Vinnie Woolston
✢ CREDITS : Shiya
✢ AGE DU PERSONNAGE : 25 ans
✢ JE SUIS : La chenille.
✢ DANS TES POCHES : De la nourritures, des plantes en priorité, une gourde, un peau de lapin qui lui sert de coussin. Rien de bien intérressant.
✢ TA VIE : 100/100
✢ ANCIEN METIER : Voleur ou dealeur, bien que ce ne soit pas reconnu par la loi, c'était mieux que bon à rien ou bricoleur.
✢ LOCALISATION : Il a trouvé un petit refuge à la rivière des larmes. Une cabane à peine visible, juste de quoi se protèger.
✢ JE EST UN AUTRE : Je est tout seul, je n'est pas fou. C'est pas vrai !
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MessageSujet: Re: (pnj autorisé. ) Nous sommes tous pathétiques. C’est ce qui rends la vie intéressante. (izoah)    (pnj autorisé. ) Nous sommes tous pathétiques. C’est ce qui rends la vie intéressante. (izoah)  EmptyVen 27 Juin - 21:48


"Les rafales ont déchiré mes vêtements mais il me reste encore des sentiments."

Partir à l’aventure avec quelques choses c’est toujours mieux, seulement le plat du jour s’est vu être des champignons. Super idée, ces petits trucs rassasiant qui font perdre un sens. Il aurait pu pas trouver une autre merde pour un jour comme aujourd’hui ? En fait il s’est simplement dit que s’il perdait le sens trop important, il attendrait que tout disparaisse. Ça lui aurait au moins fait perdre une journée. Dommage tout est resté. Il s’est vu obligé de quitter son domicile, s’il peut l’appeler ainsi pour s’aventurer dans le monde qu’il hait tant. N’aurait-il pas pu se trouver plus loin de l’eau que ça. Il a dû être pris de folie le jour où il a décidé que les base d’un hébergement était bien ici. Le seul avantage, c’est que la gourde faite avec un ou deux groins de cochon volant est rapidement remplis.  Et c’est bien la raison principal qui l’a fait quitter ses habitudes avec tous ses sens sauf le mystérieux qui a disparu. Pas grave. Pour qu’il ne s’en rende même pas compte c’est qu’il n’a pas de soucis à se faire. Si ce n’est vérifier que ses chaussures ne prendront pas l’eau. Même si c’est là qu’il se demande pourquoi il n’a pas de bottes en caoutchouc aux pieds. C’est laid mais c’est son coma alors il fait ce qu’il veut ! Et puis ça lui aurait évité de s’éclabousser le pantalon en courant à la suite d’un papillon mangeable. Folie. Le pauvre avec ses tartines sur le dos devrait se trouver à lui voleter dans la face pour le supplier de le tuer au lieu de prendre la direction inverse. Dirons-nous que la finalité est bien de l’attraper et c’est ce qui se passa au bout de quelques minutes. Le repas du soir s’est retrouver emballer dans un bout de tissus négligemment attaché à une corde qui le retiendra le temps d’un voyage sur l’épaule de Manoah. C’est un bien grand paquet pour seulement un papillon. C’est bien pour ça qu’il en a attrapé plus d’un. Il s’est entrainé aux poses acrobatiques, avant de redevenir plus tranquille aux abords du lac. Il ne faudrait pas qu’un seul bout de ses chaussures frôle l’eau, c’est écœurant. Seule sa gourde y a fait un court plongeon avant de rejoindre la nourriture et que son chemin se poursuit sur ce qui depuis une semaine lui sert de logement. A gauche, à droite, sur ce domino et pas l’autre. Il a ses habitudes. Encore un peu et il pourra commencer à jouer à on ne marche pas sur les cases qui citent tel numéro. Peut-être est-ce toujours un peu tôt… Comme affirmer que ce qu’il a construit est sa propriété. Il n’a pas manqué de remarquer la porte ouverte et encore le corps étranger accroupi sur ses vivres.  Il a dû se faire violence pour ne pas foncer directement sur l’intruse, car ça doit être une et pas un au vu de la longueur de ses cheveux. C’est difficile de trouver d’autres détails dans cette position. La main de Manoah s’est précipitée à l’intérieur de sa poche pour trouver son paquet de carte magique, bien plus fourni que ceux de cinquante-deux cartes et heureusement. Il n’a pas pour habitudes d’être clément quand c’est de sa survie qu’il est questions. Celle dont il s’est saisit se voit lancer approximativement sur la main visible de la voleuse. Oui approximativement est utile comme précision. La carte a plus frôler l’oreille blonde pour atterrir sur le couvercle du coffre que là où il le désirait. Tant pis, ça fera effet de surprise.

« Si tu veux manger, faudra que tu te débrouilles seule ! »

Son ton froid espère bien l’intimidé et en imposer assez pour qu’elle ne demande pas son reste.  Avec ses airs de gosses, elle doit bien inspirer la pitié et elle doit obtenir tout ce qu’elle veut. Elle ressemble à une poupée. Ou une petit bombe. Elle doit être explosive. Son physique lui fait penser à Izia, son Izia, sa princesse. Celle qu’il a perdu depuis trop longtemps mais pourquoi… Pourquoi maintenant ? Pourquoi elle se trouve là, seulement en cet instant ? Elle aurait pu venir avant de ses rêves qui frôlent la mort. Et pourtant de deux pas, ils osent s’avancer avec des airs de gosse et ce ton qui pourrait lui donner quatre an, en plus de la débilité de ses propos.

« Izia… T’es là ? »

T’es pas un mirage ? Tu es réel ou c’est les champignons qui font perdre la raison au bout d’un moment. C’est con quand il sait que son imagination ne pourrait pas la rendre aussi parfaite et qu’il n’a connu qu’une femme au courbes aussi enfantine, tout en ayant acquis les qualités de femme fatale. L’illusion lui permet de s’avance encore d’un pas, avant qu’il ne se fige de par la douleur. C’était ça le sens oublié ? Le touché et les sensations ? C’était mieux avant. Sa jambe le lance de part une égratignure à l’origine inconnu, qui a pourtant laissé une jolie plaie saignante. Et puis y a son dos qui le fait se sentir vieux d’un coup, la douleur est vive sans raison visible, même s’il la connait. La femme n’a pas le pouvoir d’un champignon, elle ne permet pas de tout oublier d’un claquement habile de doigt. Elle laisse la souffrance. Et elle vient d’ailleurs par miracle de faire sauter les coutures qui en retenaient les milles morceaux. Elle aurait mieux fait de rester terrer car de la douleur physique ou mentale,  celle qui le paralyse n’est pas certaine.
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Izia St-John
Izia St-John

❝ nous sommes tous fous ❞

✢ DENTS PERDUES : 306
☩ CERVELLES GAGNÉES : 3914
✢ ARRIVÉ AU PAYS LE : 25/06/2014
✢ PSEUDO : re-l
✢ AVATAR : Nastassia Lindes ♥
✢ CREDITS : glass skins
✢ AGE DU PERSONNAGE : 23 ans.
✢ JE SUIS : Alice
✢ DANS TES POCHES : rien, ou juste pas assez pour survivre. De ce monde, elle n'a rien qui l'aide, vide, elles sont. peut-être une ou deux baies de la reine, trouver à terre, mais rien de plus.
✢ TA VIE : 100/100
✢ ANCIEN METIER : Ca n'a rien eu d'un métier. Voleuse. Rien de bien, mais elle n'a su faire que ça, ainsi que de se perdre dans les bras de Manoah, c'est avec lui qu'elle a volé, haut dans le ciel, avant de sombrer. Mais avant que la mort vienne déposer un baiser sur les lèvres, elle volait, de tout de rien. Il faut bien vivre.
✢ LOCALISATION : Elle n'a pas pris le temps de s'attacher aux lieux, aux choses. En mouvement, tout le temps, sans cesse, elle n'oublie pas qu'il y a un autre monde, et là, il y a ces lieux qu'elle chérit tant, avec une tendresse infinie.
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« Cinq minutes d'éternité avec toi. »
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✢ JE EST UN AUTRE : Je est un autre jeu ->
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MessageSujet: Re: (pnj autorisé. ) Nous sommes tous pathétiques. C’est ce qui rends la vie intéressante. (izoah)    (pnj autorisé. ) Nous sommes tous pathétiques. C’est ce qui rends la vie intéressante. (izoah)  EmptySam 28 Juin - 23:28

(pnj autorisé. ) Nous sommes tous pathétiques. C’est ce qui rends la vie intéressante. (izoah)  Tumblr_m9nscb6Cp51r3xqobo10_r1_250(pnj autorisé. ) Nous sommes tous pathétiques. C’est ce qui rends la vie intéressante. (izoah)  Tumblr_n08nilrRfM1qeiduso4_250
« - Pourquoi rêver est-il si important ?
- Parce que dans mes rêves on est toujours ensemble.»


Izia n'a pas su trouver un lieu, un endroit où s'arrêter. Elle a eu ses coups de coeur, enfin, elle a eu un coup de coeur, un endroit qu'elle a trouvé adorable, un endroit qui représente plus ou moins le chaos dans lequel elle se trouve, mais dont elle ne peut se lasser. Le Domaine du Chapelier, endroit où ses yeux ont pris plein la vue, endroit où elle pourrait en demander, encore, encore. Mais elle n'est pas du genre sédentaire. Surtout quand son corps appelle à bouger, et son coeur appelle à chercher. Chercher qui ? Elle le sait très bien, elle le sait mieux que personne, elle le sait mieux que qui compte. Petite princesse qui se trouve perdue sans moitié. Elle dépend des autres, elle dépend de lui, elle a toujours dépendu de lui, c'était un fait inévitable, c'était toujours ce qu'elle a été, une dépendante aux autres, elle trainait dans les pattes de son frère et de Théo. Puis, il y eut Manoah, le grand, le doux, le fort. Manoah l'incroyable, Manoah le magnifique. Son coeur n'a jamais été aussi vivant, n'a jamais émis autant de battement en une fois, elle n'a jamais autant qu'elle a aimé lui, de toute façon. Manoah, c'est le seul pour qui son corps peut battre à l'infini, comme la mécanique de son coeur. Elle lui a souvent parlé de cette mécanique, ou de juste du livre dont l'expression a été tirée. Mais rien n'est aussi réel que son amour pour lui, et le vide laissait après sa mort, après être parti. Les choses auraient pu être différentes, elle aurait pu trouver une autre ici, leur histoire n'aurait pas pris le large, elle n'aurait pas pris le grand large. Sans un mot, elle ferme son esprit, c'est qu'elle trouve de mieux à faire, le fermer et le mettre dans un coffre, pour ne pas qu'on puisse savoir ce qu'elle pense, pour ne pas qu'on puisse prendre en compte ce qu'elle a dit, pour ne pas qu'on viole son si étroit espace personnel, parce qu'elle n'a que ça, parce qu'elle n'a rien d'autre. Surtout ici, surtout ailleurs. Ici n'est pas ailleurs, ailleurs n'est-ce pas ici ? Folle, elle doit l'être au point de trouver un lien entre deux opposés. Mais son regard se trouve ailleurs, il fuit ce qu'il arrive, il fuit ce qu'il y a dans ce petit monde, une espèce de Cabane, une espère petite maison s'en l'être, elle fonce, elle a besoin de voir ce qu'il y a, elle a besoin de trouver quelque chose, non pas en tant que voleuse et cleptomane, mais si elle trouve quelque chose, c'est comme pour s'assurer qu'elle n'est pas seule, ou que la folie n'y vient pas sonner les trompettes. Elle ne sait pas, elle ne sait plus, ses mains cherchent si la nourriture trouver à quelque chose d'alléchant, elle gère mieux la faim que la soif, elle gère mieux ce sentiment de vide, dans le creux de l'estomac, il est pareil, que celui de son coeur, sauf qu'elle aurait beau manger tout ce qu'elle veut, la douleur et le vide restera. Mais le bruit d'un objet dans le bois la fait sursauter. Elle ne se doutait pas que le cabanon possédait encore âme qui vive, ou juste qu'elle a cru comme une gamine qu'on ne viendrait pas la déranger, mais la carte près de son oreille lui prouve tout le contraire. Elle garde la peau dans sa main, et en se levant, elle attrape la carte, la voix ne la dérange pas, elle soupire, elle ne sait pas se battre, et elle ne veut pas se faire tuer juste pour un morceau de peau en lambeau.

« Si tu ne veux pas qu'on te prenne pour une boutique, fallait pas être aussi flagrante ! »

Izia ne sait pas se taire, surtout sous l'effet de surprise, mais pour la première depuis la présence de l'inconnue, ses yeux trouvent le détenteur de la voix, elle se fige, de bonheur ? Il n'y a que ça comme explication, il ne peut avoir que ça comme explication, elle ne peut se figer que de bonheur. Droite, ses yeux dans les siens, droites, un sourire de gosse qui vient de retrouver son doudou, droite, et  les yeux d'amoureuse retrouvée. Son coeur bat, il bat faire, mais rien ne sort, il n'y a que la silhouette de Manoah, il n'y a que son regard, et ses airs enfantins. Elle reste là, quelques instants, et s'il ose s'approcher, elle s'avance aussi. Le mirage peut prendre tout son être, l'emporter au loin, si c'en est un. Une illusion de cette qualité, de ce réalisme, ça ne peut que la détruire après. Mais la voix la ramène à la raison, elle n'est pas là, si ? C'est à lui qu'elle doit poser la question, mais elle se contente d'agrandir son sourire d'enfant, en murmurant.

« Tu connais beaucoup de moi ? »

Elle arrive à rire, et le fait de le voir avancer comme un enfant un certain l'amuse de tendresse. C'est tout ce qu'elle ressent, en ce moment, de la tendresse. Mais d'une joyeuse gamine, elle lui saute dans les bras, elle saute dans ces bras qu'elle a retrouvés, les mots ne sortent pas encore, pas les autres, pas maintenant, il est trop tôt, on ne peut pas le lui reprendre parce qu'elle montre par a plus b tout ce qu'elle n'a pas été sans lui, elle le serre comme une enfant serre un ours en peluche, et les larmes ne se sont pas frayées de chemin, on ne pleure pas qu'on est heureux si ? Elle se détache de ses bras, avant de se mettre sur la pointe des pieds, un bisou sur le nez, et son rire résonne dans l'espace immense. Un autre, sur les lèvres, plus passionné, plus fou trouve la place contre celles de Manoah, avant que son pied se retrouve à plat, et que ses mains rejoignent celles Manoah. Ne pas lâcher le contente, c'est trop tôt.

« Je pensais pas te voir ici, je pensais que tu étais à Londres, que tu allais bien, parce que pour être ici, faut être mort, enfin, moi, je le suis, je sais que je suis morte, mais toi, tu peux pas l'être, si ? »

Mais comme une enfant qui conte une histoire, elle trouve la faille dans sa présence, il n'est pas heureux, il est mort comme elle, il est mort, et elle n'a pas su le sauver, c'est horrible, peut-être qu'elle a voulu trop fort le revoir qu'il se trouve aussi, elle l'a tué ? Elle serre ses mains, elle les serre, en les regardant, mais ce n'est pas tant que ça qui occupe son champ de vision, il y a du sang, elle regarde Manoah, avant qu'un petit cri trouve son chemin avant qu'un Oh mon dieu ! sortent de ses lèvres. Izia regarde Manoah, inquiète, et l'intime de s'assoir, si l'idée de le voir avec une ficelle et des papillons aux ailes comestibles, la petite fille trouve la gourde, à genoux, elle y déverse un peu sur l'état de la blessure ça ne peut pas être grave, si ? Elle arrache un bout de sa robe avant de le mettre autour de sa jambe, elle ne sait pas faire plus, elle ne peut pas faire plus de toute façon. Mais elle se trouve en face de lui, assise, et un sourire qui assure toute la tendresse qu'elle a pour lui. Elle oublie le temps d'une seconde ou d'une éternité qu'ils ne sont plus. Morts, tous les deux. Mais à deux, non, ce n'est pas tout ce qui compte ? Elle attrape sa main, la droite, et joue avec ses doigts. Assise face à lui, elle regarde sa main où ses doigts jouent avec les siens.

« Tu restes, hein ? Manoah, tu resteras maintenant ? Tu ne me diras plus de partir ? J'aime pas quand tu dis ça, ça fait mal. »
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Manoah Straton
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❝ ce n'est jamais l'heure du thé alors ?! ❞

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✢ PSEUDO : Chae'
✢ AVATAR : Vinnie Woolston
✢ CREDITS : Shiya
✢ AGE DU PERSONNAGE : 25 ans
✢ JE SUIS : La chenille.
✢ DANS TES POCHES : De la nourritures, des plantes en priorité, une gourde, un peau de lapin qui lui sert de coussin. Rien de bien intérressant.
✢ TA VIE : 100/100
✢ ANCIEN METIER : Voleur ou dealeur, bien que ce ne soit pas reconnu par la loi, c'était mieux que bon à rien ou bricoleur.
✢ LOCALISATION : Il a trouvé un petit refuge à la rivière des larmes. Une cabane à peine visible, juste de quoi se protèger.
✢ JE EST UN AUTRE : Je est tout seul, je n'est pas fou. C'est pas vrai !
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MessageSujet: Re: (pnj autorisé. ) Nous sommes tous pathétiques. C’est ce qui rends la vie intéressante. (izoah)    (pnj autorisé. ) Nous sommes tous pathétiques. C’est ce qui rends la vie intéressante. (izoah)  EmptyLun 30 Juin - 5:08


"Les rafales ont déchiré mes vêtements mais il me reste encore des sentiments."

Les traits de ce visage, c’est eux qui le font se stopper net et ne pas répondre une fois de plus à l’insolente qui ose plaindre sa cachette. Il s’y trouvait bien avant qu’elle n’y fasse intrusion. Mais tout ça vient de s’évanouir. Il se fiche de connaitre la dangerosité ou la visibilité de son abris. Il y a Izia ou ce qui y ressemble. Y a une jolie blonde qui fait battre son cœur et qu’il n’a plus vu depuis des mois. Elle est là. Elle se trouve au milieu de son coma sans qu’il n’en connaisse la raison. Sa voix presque disparu de ses souvenirs est de rtour au milieu du décombre de sa mort. Et puis comment ne pas apprécier le fait qu’elle affirme être autre chose qu’une foutue illusion. Izia n’est pas de gaz et d’air mais de chair et de sang. Elle est solide, sa main ne passera pas à travers son corps. Et apparement, elle est décidée à le lui prouver. Elle a trouvé le chemin de ses bras sans qu’il ne puisse lui-même avancer encore un peu. Il sent l’objet de toutes ses palpitation se trouver une place au creux de ses bras qu’il referme précipitamment dessus. La peur de la voir virevolter ailleurs, sans doute. Elle ne sera pas comme les papillons de tantôt, elle volera sur lui et pas ailleurs.

« J’en connais qu'une d’Izia et ça me surprends de la voir après tant de temps. »

Il ne lui en veut pas, le large sourire rêveur qui peint son visage doit le dire sans aucune retenue. Et puis comment pourrait-il arriver à camoufler un bonheur si présent. Il ne pourrait que le laisser exploser au visage du premier venu. Lui qui la pensait perdue à jamais, elle a trouvé comment retrouver le chemin de la maison.Izia a fait son grand retour et Manoah ne songe qu’à lui briser les os avec l’importance de son amour. Ses bras se sont refermé plus effrayé sur ce corps chéri. Et si le baiser sur le nez lui fait secouer la tête avec une mine enfantine comme pour s’en défaire une fois posé, il ne rechigne en rien lorsqu’il s’agit d’un vrai baiser. L’une de ses mains en vient à quitter son dos pour se déposer sur son visage. Il ne veut plus jamais quitter ce petit bonheur qu’elle représente. Pour la peine, il lui laisse à peine le temps de retrouver le sol qu’il en vient déjà à venir chercher un baiser. Elle en a vu d’autre que lui en son absence ? Car ça n’a pas été son cas. Il aurait presque pu oublier comment embrasser correctement, seulement avec une telle princesse, c’est comme le vélo :ça ne s’oublie pas. Elle le rend trop accro pour qu’un seul détail soit digne d’être oublié.Il n’a pas besoin de l’écouter, tout ce qu’il veut c’est trouver la chaleur perdue. Les paroles sont vaines. Et seul ses mains attachées par celles de la blonde l’empêche de courir pêcher d’autres câlins ou embrassades. Dieux seul sait ce qu’il en est friand. Etre sage, ce sera pour plus tard. Il veut commettre toutes les bêtises possibles et imaginables, permettant à son bonheur d’exploser. Pas utile quand Izia finit par le balayer devant la porte d’un autre. Mort, il ne l’es pas. Elle non plus. ils se réveilleront et se retrouverons dans le monde normal. Son sourire s’est effacé, elle l’a perdu dans ses explications. Il n’ose plus vraiment la voir. Il ne l’a pas su qu’elle s’était faites tuer mais il a continué à lui en vouloir d’être partie. Mais si elle l’a repris sans pitié. Elle arrive à lui refourgué une moitié prix. Le regard triste, il s’amuse de la voir si inquiète pour rien du tout. Son sac atterrît doucement sur le sol. Et il finit par s’asseoir, ça soulagera au moins son dos.

« Tu crois qu’il va falloir couper, docteur ? »

Un semblant de rire résonne. Vaut mieux ça que pleurer, ce serait con de mourir une seconde fois en se préoccupant de la première. Même s’il ne digère pas ces informations. Il la laisse agir, perdu autre part. Il voudrait ne plus être dans son coma, ce monde faussement féérique. Il voudrait voir Izia pour de vrai pas seulement car elle lui manque. Et si elle a raison ? Les mains qui viennent de trouver leur chemin sur son corps, le font sursauter. Elle n’est pas partie. Dommage, ça ne l’aurait plus fait hésité sur les faits qui se sont vraiment déroulés..

« C’est toi qui est parti Izia. Il y avait rien eu entre cette fille et moi. Ca a toujours été toi mais t’as quand même continué ton chemin sans te soucier que moi je t’en voudrais jusqu’à la mort. »

Parce que c’est perturbant d’en vouloir assez pour arriver à tuer quelqu’un. Elle l’a cherché sans doute. Il ne lui offre plus rien que son regard triste. Elle a été la plus idiote des deux à ne pas réfléchir au fait que les mot dépasse la pensée et qu’elle les a mérité de par son manque de confiance en lui. Il n’’ose plus la regarder, maintenant qu’elle sait. Il en détourne les yeux. La force de supporter les semis vérité n’est plus. Il n’y a que la main qui jouait avec ses doigts qu’il vient d’emprisonner dans la sienne, l’empêchant d’aller chercher un autre Manoah s’il existe. Le dos collé au mur, son regard est fixe sur sa peau douce. Il essaie simplement de se détacher de toute cette histoire.

« Les journaux ont pas parlé de toi… Qu’est-ce qu’il s’est passé ? Ça fait longtemps ? »

De la curiosité mal placée à ce niveau mais tant pis. Il brûle d’impatience de connaitre ce qui a mis un terme à ses jours, ou le fil qui le maintenait dans la recherche constante de la vie. S’il décide de la croire, ça ne veut pas dire qu’il n’y a pas de hein marche arrière, ! Seulement qu’il ne veut pas se disputer dans un rêve aussi réel.

« T’as pas souffert au moins ? Parce que si moi je suis mort, j’ai rien senti quand j’ai touché le sol. Tu sais Izia, c’était dur de vivre sans toi. Moi j’t’aime, j’ai toujours aimé qu’toi. Alors peut-être que j’ai fait exprès de trainer dans l’appart du vingtième. Tu sais celui où on s’est amusé un long moment. J’ai voulu surement emporter un bout de toi. C’est con…. Tu dois me trouver con... D’avoir été trop fier pour venir te chercher mais pas assez pour continuer à avancer en t’aimant comme avant tout ça… »

Le sourire triste qui le défigure ne le fait pas relever la tête sur Izia. Il a trop parlé. Il aimerait qu’elle parte ou juste qu’elle ait mangé un champignon entre temps qui lui ait fait perdre son ouïe. Apprendre à se taire en ne déballant pas tout ce qui se trouve sur le cœur se retrouvera sur la liste des choses à faire.
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Izia St-John
Izia St-John

❝ nous sommes tous fous ❞

✢ DENTS PERDUES : 306
☩ CERVELLES GAGNÉES : 3914
✢ ARRIVÉ AU PAYS LE : 25/06/2014
✢ PSEUDO : re-l
✢ AVATAR : Nastassia Lindes ♥
✢ CREDITS : glass skins
✢ AGE DU PERSONNAGE : 23 ans.
✢ JE SUIS : Alice
✢ DANS TES POCHES : rien, ou juste pas assez pour survivre. De ce monde, elle n'a rien qui l'aide, vide, elles sont. peut-être une ou deux baies de la reine, trouver à terre, mais rien de plus.
✢ TA VIE : 100/100
✢ ANCIEN METIER : Ca n'a rien eu d'un métier. Voleuse. Rien de bien, mais elle n'a su faire que ça, ainsi que de se perdre dans les bras de Manoah, c'est avec lui qu'elle a volé, haut dans le ciel, avant de sombrer. Mais avant que la mort vienne déposer un baiser sur les lèvres, elle volait, de tout de rien. Il faut bien vivre.
✢ LOCALISATION : Elle n'a pas pris le temps de s'attacher aux lieux, aux choses. En mouvement, tout le temps, sans cesse, elle n'oublie pas qu'il y a un autre monde, et là, il y a ces lieux qu'elle chérit tant, avec une tendresse infinie.
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« Cinq minutes d'éternité avec toi. »
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✢ JE EST UN AUTRE : Je est un autre jeu ->
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MessageSujet: Re: (pnj autorisé. ) Nous sommes tous pathétiques. C’est ce qui rends la vie intéressante. (izoah)    (pnj autorisé. ) Nous sommes tous pathétiques. C’est ce qui rends la vie intéressante. (izoah)  EmptyLun 30 Juin - 20:53

(pnj autorisé. ) Nous sommes tous pathétiques. C’est ce qui rends la vie intéressante. (izoah)  Tumblr_m9nscb6Cp51r3xqobo10_r1_250(pnj autorisé. ) Nous sommes tous pathétiques. C’est ce qui rends la vie intéressante. (izoah)  Tumblr_n08nilrRfM1qeiduso4_250
« - Pourquoi rêver est-il si important ?
- Parce que dans mes rêves on est toujours ensemble.»


Les bras se referment doucement sur son coeur, et le coeur explose, de bonheur, de tendresse, de douceur, il n'y a pas de mot pour explique ça, il n'y a pas d'autre façon, d'expliquer ça, il n'y a rien d'autre pour remplir son coeur de bonheur, pour remplir son coeur de bout de paradis. C'est tout ce qu'elle trouve comme mots, parce que les mots, elle n'aime pas ça, ou pas assez, elle ne les manipulent pas bien, elle préfère les lire, ce n'est pas elle qui les dit, ce n'est pas elle qui doit les penser. Les livres lui manquent, assez pour s'ennuyer, assez pour ressentir un petit point au coeur.

« Est-ce qu'elle t'a manqué ? »

Parce que même si elle trouve le bonheur dans la douceur de Manoah, même si elle trouve la douceur, il y a l'idée qu'avant, il y a pu avoir une autre, il y a l'idée qu'avant, il a trouvé la parfaite remplaçante, la parfaite seconde Izia, une autre, une belle, plus douce, plus réelle, plus adulte, plus comme lui, une autre, qui complète, qui prend place dans son coeur, qui prend place dans son monde, qui prend place là où elle avait été. Être remplacée, est-ce qu'elle l'a été ? Ne plus être la seule, ne plus être l'unique. Mais ses lèvres contre les siennes, tout explose, à nouveau, tout peut exploser, toujours, toujours, et encore, tout peut se détruire, mais tout peut se reconstruire, tout peut se reconstruira, encore, comme tout le temps. C'est Manoah qui en a le pouvoir, de tout construire, il suffit qu'il parle, il suffit qu'elle écoute son coeur, il suffit juste qu'il soit pour que tout ce qu'elle a de mort reprenne vit. Non pas comme de simples morts vivants, mais c'est comme une queue de phénix appliqué, comme un phénix, tout renait de ses cendres, parce que l'amour qu'elle a pour lui, peut être représenté pour lui, ou l'immortalité. Parce qu'il ne ne s'est pas encore, c'est faut, l'amour ne dure pas trois ans, ce sont des théories fumeuses de psychologues pervers et veufs. Son amour à elle durera plus que toute l'éternité. C'est tout ce qu'elle sait. Amoureuse, elle l'est, elle ne s'en cache pas. Surtout quand ses lèvres viennent rejoindre celle de son partenaire, celles de sa moitié, quand ses lèvres trouvent réconfort dans celles de l'autre. Mais Izia parle, elle parle beaucoup, elle ne se rend pas compte, pas toujours, elle parle, elle dit ce qu'elle pense, ou la peur, mais elle regarde son prince charmant, elle regarde, elle essaie de trouver quelque chose, peut-être la preuve que c'était un mensonge. Mais elle ne sait pas, et elle laisse vite tomber de savoir pourquoi avant de voir le sang sur sa jambe, elle s'empresse de le soigner, où du moins, elle fait comme elle peut, petite princesse qui ne veut pas perdre son prince, elle cherche juste à le garder contre elle, à le garder avec elle, pour toujours, si ce n'est pas trop demandé, si ce n'est pas trop vouloir. L'amour ne rend pas con, il ne rend pas idiot, elle n'est pas idiote, elle ne sait pas, elle se perd quand la voix de l'homme qui hante ses pensées arrive à son cerveau, elle lâche un petit rire.

« Je ne couperai que votre langue, si vous continuez à me déconcentrer. »

Elle rit, elle a fini, elle regarde le petit pansement, avant de prendre place en face de lui, elle joue avec ses doigts, elle joue pour ne pas regarder le regard triste, quand elle lui parle de ne pas partir. Elle ne sait pas, elle aurait pu se taire, elle aurait se taire, comme toujours, elle parle trop elle envie de lâcher ses doigts, quand les mots claquent, elle sait qu'elle est la fautive, elle sait qu'elle a fait des erreurs, elle ne serait pas morte en allant le rejoindre, sinon si elle avait fait tout ce qu'il fallait, tout ce qu'on aurait pu faire. Ils seraient envie, ou mort, comme les deux vieux dans Titanic, à deux, dans le sang de l'autre. Ca parait glauque comme vision, mais c'est les seuls fins qu'elle a trouvé, et aussi dans ses visions qu'elle a trouvé le courage d'affronter les mots, elle ne peut pas se protéger, elle ne peut pas s'enfermer dans une réalité fausse, et illusoire, elle sert les doigts, et cache ses larmes. Elle ne veut pas pleurer, elle ne peut pas.

« T'aurais pas pu m'en vouloir autant, Manoah. J'savais pas, enfin, c'est jamais de toi que je doutais, mais juste de moi. Tu ne sais pas ce qui se passe dans ma tête, quand je te vois regarder ailleurs, quand une autre plus jolie arrive pour te parler. Je suis toute petite, et les autres sont grands, j'ai toujours peur que tu préfères ce qu'il y a de plus grand. »

Elle a une tête d'enfant, elle a une petite tête, une tête de gamine, parce qu'Izia n'est qu'une gamine dans le fond, elle ne croit pas quand les choses, les autres plus cruelles arrivent, parce que dans le fond, elle ne croit pas qu'on puisse réellement faire du mal. Où si elle le croit, ici elle a plus l'impression qu'elle est plus son propre ennemie que les autres. Comme la stupidité de sa mort la tire de ses pensées avant qu'elle sombre, elle le regarde, silencieuse, avant de faire un sourire tendre, es traits d'enfants dans les yeux.

« Qui parlerait d'une pauvre petite voleuse tuer par une balle perdue ? J'voulais te revoir, parce que tu es tout ce que j'ai, et je me suis pris une balle, je sais pas où, parfois, j'ai mal au ventre, peut-être là ... »

Elle a envie de rire, elle a envie d'exploser de rire même, elle est morte de façon un peu idiote, mauvais endroit, mauvais moment, c'est tout, tout le temps.. Elle a gâché sa vie à cause de ça, elle a gâché comme ça. Elle serait toujours avec Manaoh, elle serait toujours avec lui si elle avait su. Quand on sait, c'est toujours mieux, mais maintenant, elle est là, maintenant, elle se retrouve là. Et les mots viennent de nouveau rendre le silence bruyant, et la réalité rattrape Izia, elle ne veut pas, mais il y a des mots dans tout ce qu'elle ne veut pas, il y a son j't'aime. qui ressort de tout, et si les larmes coulent sans qu'elle se rendre, elle jette son corps contre celui de Manoah, elle serre l'homme de sa vie. La mort est cruelle, il devait vivre, et comme une enfant, elle le serre comme s'il était son doudou.

« T'es pas conne, t'es pas con Manoah. C'est moi qu'il l'est, j'savais pas vivre sans toi, j'sais toujours pas vivre, mais je pensais pas que tu allais mieux, c'est tout, j'suis juste un chien errant, j'ai cru que tu étais mieux sans moi. J'suis pas assez grande, alors j'ai cru... Manoah, je t'aime toujours. Ca n'a jamais cessé, j'ai juste eu peur de croire que tu en avais une autre, plus belle. Plus douce. Pas une petite idiote comme moi, après tout, j'suis pas assez bien, tu mérites quelqu'un de tellement mieux. »

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Alice
Alice

❝ cet endroit a quelque peu changé ❞

✢ DENTS PERDUES : 221
☩ CERVELLES GAGNÉES : 3880
✢ ARRIVÉ AU PAYS LE : 06/05/2014
✢ PSEUDO : alice.
✢ AVATAR : liddell.
✢ CREDITS : de moi à moi.
✢ AGE DU PERSONNAGE : qui saurait vraiment le dire ?
✢ JE SUIS : ce que j'ai toujours été.
✢ TA VIE : 100/100
✢ ANCIEN METIER : créatrice.
✢ LOCALISATION : dans un lit d'hôpital.
(pnj autorisé. ) Nous sommes tous pathétiques. C’est ce qui rends la vie intéressante. (izoah)  Tumblr_lqnqu2erAi1qc200lo1_500
✢ JE EST UN AUTRE : la reine de coeur, le chat, le chapelier, je suis tout et rien à la fois.
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MessageSujet: Re: (pnj autorisé. ) Nous sommes tous pathétiques. C’est ce qui rends la vie intéressante. (izoah)    (pnj autorisé. ) Nous sommes tous pathétiques. C’est ce qui rends la vie intéressante. (izoah)  EmptyLun 30 Juin - 21:07



Le combattant combattu
ready ? fight !

L
e pays des merveilles est certainement un endroit bien capricieux ; on n'est jamais à l'abri, il faut toujours être sur ses gardes, et ce n'est pas ces deux énergumènes se baladant dans la Vallée des Larmes qui vous diront le contraire. Le bruit et leurs odeurs ont rameuté les bêtes, prêtes à festoyer de ces misérables humains. Les flaques de pétroles émergent du sol comme par miracle - un miracle défectueux, je vous l'accorde - et se muent en cinq ruines dont le visage de poupée aux yeux manquants pourrait vous glacer le sang. Mais qu'est-ce ce bruit ? Il semblerait que des visselules ont elles aussi soif de sang, cinq plus exactement. Vicieuses petites bestioles, faites attention à ce qu'elles ne s'accrochent pas à vous ; il serait bête de leur faciliter la tâche.


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https://insanekids.forumactif.org
Manoah Straton
Manoah Straton

❝ ce n'est jamais l'heure du thé alors ?! ❞

✢ DENTS PERDUES : 12
☩ CERVELLES GAGNÉES : 3653
✢ ARRIVÉ AU PAYS LE : 26/06/2014
✢ PSEUDO : Chae'
✢ AVATAR : Vinnie Woolston
✢ CREDITS : Shiya
✢ AGE DU PERSONNAGE : 25 ans
✢ JE SUIS : La chenille.
✢ DANS TES POCHES : De la nourritures, des plantes en priorité, une gourde, un peau de lapin qui lui sert de coussin. Rien de bien intérressant.
✢ TA VIE : 100/100
✢ ANCIEN METIER : Voleur ou dealeur, bien que ce ne soit pas reconnu par la loi, c'était mieux que bon à rien ou bricoleur.
✢ LOCALISATION : Il a trouvé un petit refuge à la rivière des larmes. Une cabane à peine visible, juste de quoi se protèger.
✢ JE EST UN AUTRE : Je est tout seul, je n'est pas fou. C'est pas vrai !
(pnj autorisé. ) Nous sommes tous pathétiques. C’est ce qui rends la vie intéressante. (izoah)  Empty
MessageSujet: Re: (pnj autorisé. ) Nous sommes tous pathétiques. C’est ce qui rends la vie intéressante. (izoah)    (pnj autorisé. ) Nous sommes tous pathétiques. C’est ce qui rends la vie intéressante. (izoah)  EmptyJeu 10 Juil - 9:00


"Les rafales ont déchiré mes vêtements mais il me reste encore des sentiments."

Ses épaules se relèvent doucement en entendant sa question, un souffle qui serait probablement devenu un rire s’élève plus fort que le reste de sa respiration. Une question idiote. Il n’a même pas envie de lui répondre. Ils sont assez proche pour qu’il n’ait plus à le faire avec son dos douloureux. Ses yeux scrutent simplement la jeune femme dans le moindre de ses détails, avant de laisser ses épaules s’hausser une nouvelle fois, un sourire trop heureux sur le visage.

« Disons que je suis content de la retrouver. »

Manoah assez chiant pour ne pas lui offrir ce qu’elle veut. Il a bien dû attendre des mois qu’elle fasse marche arrière dans leur rupture. Elle ne lui a pas manqué, c’est une part de lui qui a disparu. Mentir à l’être aimé n’est pas beau, n’est-ce pas ? Alors pourquoi le ferait-il ? Izia n’a que le droit de se languir mais s’il veut être cruel, il ne peut pas refuser la chaleur de ses bras plus longtemps, il ne peut s’en tenir éloigné plus longtemps. Qu’auriez-vous fait à sa place face au rêve qui surgit à chaque heure de sommeil et que vous rêveriez de pouvoir toucher du doigt. Et puis jouer le patient, si elle se déguise en belle infirmière ne le dérange absolument pas. Fantasme basique auquel il n’échappe et qui ne lui échappe pas une fois qu’il a posé ses fesses sur la boite de bois. Elle lui a manqué Izia. Ca fait tellement longtemps qu’il n’avait plus eu son image aussi proche. Sans doute auraient-ils dû prendre plus de photo mais non. Ils ont toujours vécu au moment présent et Manoah n’a jamais pensé qu’il aurait pu la perdre plus d’une journée. Il ne compte pas refaire les mêmes erreurs, il l’a retrouvé, il la garde pour la vie ! Ou la mort. Ce sera leur mariage mis sous silence. Il ne se privera plus de lui prouver qu’il l’aime à commencer par là, de suite. La séance de soin sera conclu par un léchouille de sa part sur sa joue, avant qu’il ne rentre sa langue dans sa bouche. Elle aurait peut-être dû la lui couper quand elle avait le pouvoir.

« Je sais que t’es jalouse de ma belle langue. »

Il laisse un rire enfantin retentir, il est bien, il est heureux. C’est un amoureux heureux. Il a retrouvé celle qui a le pouvoir de transformer en enfant tous ceux qui l’entoure. Elle a le don de lui permettre d’oublier les problèmes de la vie et surement est-ce les détails qui l’a fait plus craquer pour elle que pour une autre. Il ne sait pas si ça a fait d’elle l’évidence. En tout cas, il l’aime et c’est bien le seul point important, non ?Rien ne le fera changer d’avis. Même s’il lui admet qu’il lui en a voulu jusqu’à aujourd’hui et qu’il détourne le regard sur leurs mains pour ne pas apercevoir ses larmes.

« Tu m’a laissé seul sans raison, je pouvais pas plus t’en vouloir… Mais t’es la plus belle, la seule que je peux remarquer peu importe l’endroit, Izia… Et puis si c’est la taille qui t’en dérange, c’est pas ça qui compte, il est parfait ton pénis. »

Rester sérieux avec elle ? Impossible ! Il l’aime autant qu’il déteste se dévoiler. Alors s’il peut changer un peu la conversation et la rendre moins triste pour des retrouvailles c’est ce qu’il veut faire. S’il a été l’idiot le plus aveugle, il ne veut pas qu’elle souffre par sa faute. Izia est trop précieuse, il ne mérite pas de l’écorché vif une nouvelle fois. Mais il ne peut s’empêcher de satisfaire ses pulsions parfois glauque pour la mort, il ne peut réprimer le besoin de connaitre les causes de sa disparition. Un léger sourire triste aux lèvres, il essaie de laisser transparaitre toute sa tendresse et non pas de la pitié lorsque sa main vient se frotter aux probables endroits de l’impact entre la peau et une balle perdue. Il n’aurait jamais cru pouvoir faire ça en voyant et en entendant Izia. C’est fou ! Il rêve. Elle a tords : ils sont dans son coma, quoi d’autre sinon ?

« Au moins, t’a pas souffert… »

Oui, c’est au moins ça. Car il sait qu’il l’a assez blessé et que la vie en a fait de même, alors si la mort a pu être douce, ça en fait au moins une qui ne l’a pas maltraitée. Elle aurait au moins quelqu’un a cité quand on lui demandera qui a été gentil et tendre à son égard. Ce n’est pas une des réponses les plus attendu mais ça en est une et la vérité vaux mieux qu’un mensonge éhonté. Il aura beau agir de cents manières différentes, il est certain qu’elle ne lui pardonnera pas ses fausses infidélités. Malgré son accueil à bras ouvert pour la serrer tout contre lui, enlacé dans des incertitudes presque ridicules quand on sait qu’elle a été la seule et unique femme dans sa vie. C’est tellement cliché, tellement cul-cul. Elle ne devrait pas l’apprendre, ça la ferait fuir de savoir qu’elle la dépuceler dans toutes les nouveautés d’un couple.

« Il y a toujours eu que toi Izia. Arrête de te dévaloriser, tu vaux plus que n’importe qui à mes yeux. T’es belle, forte, intelligente,… Il y a eu que toi depuis le début et jusqu’à la… »

La main perdue sur sa joue pour une douce caresse de réconfort s’est stoppé net. C’est quoi ce bordel ? C’est quoi les flaques de pétroles qui viennent de prendre naissance au milieu de sa cabane. Se ferait-il débrancher de l’autre côté ou est-ce simplement le fait qu’il plonge plus profondément ? Quoi qu’il en soit en saisissant bravement le courage et tout l’amour dont il peut faire preuve, ses muscle se sont meut assez rapidement pour passer devant la jeune blonde et la pousser un peu plus derrière lui. Le tout sans quitter, les monstres des yeux. Il ne pensait pas apercevoir ces choses noires, un jour. Il ne les a jamais vu dans les lieux qu’il fréquente mais ce qu’il sait à leur sujet c’est qu’elle foute plus la trouille que les visselulles. Leur masque blanc ou leur taille presque similaire à la leur jouent sans doute un rôle décisive dans la peur qu’il ressent. Mais il ne veut rien montrer à la blonde. Il veut jouer le gros bras que rien n’effraie. Il veut simplement donner la meilleure image de lui à Izia, alors qu’il vient de sortir son paquet de cartes.

« Dis-moi que t’as eu un truc plus utile que ça pour nous défendre. »

Avec deux jeu de carte, ils n’iront pas loin. Coincée entre une porte et des monstres… Quelle idée ! Si seulement ils pouvaient eux aussi creuser un trou dans le bois pour y trouver la fuite. Les volantes sont tenaces mais il y aurait eu moyen de les semer au lieu de les affronter. Il n’aurait pas été obligé de tirer une reine de cœur pour l’envoyer se planter dans le côté opposé avec un nombre d’ennemi total, même pas blessé. Il n’aurait pas fallu un deuxième essai pour en toucher une autre, avant de remarquer qu’il s’est attiré les foudres du reste de la foule. Elles ont l’air moins commode quand elles sont aussi proches.

« Je pense que j’aurais mieux fait de rien tenter. »

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